Kurushimi Shitai
Dim 16 Juil 2023 - 22:42 - Kurshimi Shitai
Votre Pseudo
Race Shinigami
Âge193 ans
Grade Membre de la 4ème division
Pouvoir
« Père des Maladies »
── N'aie aucune crainte mon enfant, rassure-toi, je suis là… Dis-moi ce qu'il ne va pas.
Une voix rassurante et avenante, comme le serait un père aimant auprès de sa progéniture. Un physique corpulent, rond, évoquant un physique chaleureux et bienveillant comme on peut le retrouver dans l'imaginaire collectif. Cette main boudinée qui vient délicatement se poser sur votre épaule, indiquant implicitement vous prêter une oreille attentive pour écouter les maux qui rongent le cortex. Un sourire qui vient corroborer un visage attentif et prêt à soigner ce mal entravant d'une simple caresse.
Ainsi pourrait-on décrire l'esprit qui imprègne l'arme mystique de Shitai. D'apparence tout à fait commun, le sabre pourrait se confondre avec tant d'autres. La poignée semble usée, le tissu tressé avec rigueur autour de l'objet lors de sa fabrication semble se défaire laissant quelques lambeaux pendre que sa propriétaire tente maladroitement de réparer avec des nœuds grossiers. La lame paraît émoussée, témoin de l'absence d'entretien du fil abîmé. De surcroît, à plusieurs endroits, des failles et fissures sont visibles à l'œil, vestiges du fracas de l'acier. Est-ce le témoin de batailles glorieuses d'antan ? Ses congénères en ricanent simplement en y songeant. Lorsque sa main tremblante attrape gauchement son arme défectueuse, les rivets desserrés assurant le maintien de la poignée s'entrechoquent pour laisser entendre un cliquetis inquiétant comme si l'épée allait soudainement se démembrer.
Une voix rassurante et avenante, comme le serait un père aimant auprès de sa progéniture. Un physique corpulent, rond, évoquant un physique chaleureux et bienveillant comme on peut le retrouver dans l'imaginaire collectif. Cette main boudinée qui vient délicatement se poser sur votre épaule, indiquant implicitement vous prêter une oreille attentive pour écouter les maux qui rongent le cortex. Un sourire qui vient corroborer un visage attentif et prêt à soigner ce mal entravant d'une simple caresse.
Ainsi pourrait-on décrire l'esprit qui imprègne l'arme mystique de Shitai. D'apparence tout à fait commun, le sabre pourrait se confondre avec tant d'autres. La poignée semble usée, le tissu tressé avec rigueur autour de l'objet lors de sa fabrication semble se défaire laissant quelques lambeaux pendre que sa propriétaire tente maladroitement de réparer avec des nœuds grossiers. La lame paraît émoussée, témoin de l'absence d'entretien du fil abîmé. De surcroît, à plusieurs endroits, des failles et fissures sont visibles à l'œil, vestiges du fracas de l'acier. Est-ce le témoin de batailles glorieuses d'antan ? Ses congénères en ricanent simplement en y songeant. Lorsque sa main tremblante attrape gauchement son arme défectueuse, les rivets desserrés assurant le maintien de la poignée s'entrechoquent pour laisser entendre un cliquetis inquiétant comme si l'épée allait soudainement se démembrer.
« Bénis-les, Pères des maladies »
─ Crois-tu en la providence ? Entends-tu, impuissant, approcher la fatalité ? Questionne le Père, dans un ricanement effaçant toute la bienveillance qui aurait pu le caractériser précédemment. Souffres-tu, mon enfant ? Je peux abréger ta douleur…
Un sourire maléfique vient trancher son visage auparavant chaleureux, chaque souffle exalté répandant suffocations et fièvres, telle une marée inéluctable de souffrances dont même les plus braves s'effondrent. Chaque pore de sa peau transpire pue, furoncles ou plaies purulentes, une odeur de putréfaction accompagne sa pression spirituelle. Trônant sur un empire de cadavres à l'agonie, la créature peut décider de consumer sa victime dans un tourment de maladies, comme il peut aspirer la douleur d'une simple caresse.
Transposé dans le monde spirituel à l'état de sabre, lorsque la marionnette de ses sombres desseins exhibe ses pouvoirs, l'ensemble de la lame s'oxyde, instantanément. L'arme apparaît rouillée de la pointe jusqu'au pommeau, des liquides verdâtres dégoulinant à plusieurs endroits de l'épée. D'aucuns se demandent comment cet objet à l'état d'antiquité pourrait encore servir dans un combat, avant de voir pustules, brûlures et toux corrompre sa peau et tout son organisme.
Un sourire maléfique vient trancher son visage auparavant chaleureux, chaque souffle exalté répandant suffocations et fièvres, telle une marée inéluctable de souffrances dont même les plus braves s'effondrent. Chaque pore de sa peau transpire pue, furoncles ou plaies purulentes, une odeur de putréfaction accompagne sa pression spirituelle. Trônant sur un empire de cadavres à l'agonie, la créature peut décider de consumer sa victime dans un tourment de maladies, comme il peut aspirer la douleur d'une simple caresse.
Transposé dans le monde spirituel à l'état de sabre, lorsque la marionnette de ses sombres desseins exhibe ses pouvoirs, l'ensemble de la lame s'oxyde, instantanément. L'arme apparaît rouillée de la pointe jusqu'au pommeau, des liquides verdâtres dégoulinant à plusieurs endroits de l'épée. D'aucuns se demandent comment cet objet à l'état d'antiquité pourrait encore servir dans un combat, avant de voir pustules, brûlures et toux corrompre sa peau et tout son organisme.
Description
Les bras ballants luttant mornement contre la gravité pour ne pas caresser le sol de ses doigts fins, Shitai semble subir sa propre existence, un être voûté, presque inerte. D'une blancheur cadavérique, l'ange de la mort est perpétuellement perçue par ses pairs telle une ombre lointaine déambulant sans vie dans le monde spirituel, le regard absent comme si sa coquille vide voguait sans but, sans réelle appétence pour cet univers qui l'entourait. L'âme livide chérit la discrétion au point d'être une éternelle inconnue au sein de sa propre faction.
Ses yeux aux iris d'un marron commun sont cernés par une insomnie millénaire. Ils fixent les pavés blancs, espérant constamment de ne pas croiser le regard d'un collègue afin d'éviter une quelconque interaction pouvant engendrer un dialogue, une possible complicité. Lorsque le hasard ou ses obligations le lui imposent, elle n'exhibera qu'une voix tremblotante, hésitante et désaccordée à l'instar d'une adolescente à l'aube de sa puberté, inquiète et angoissée.
Son portrait torturé se cache derrière un uniforme réglementaire commun à toutes les âmes ayant rejoint l'élite de la société des âmes. Aucun kimono ne pouvant s'ajuster à son corps frêle et insignifiant, le vêtement traînant constamment, s'usant plus que d'accoutumée et laissant apparaître sa vétusté prématurée par de nombreux trous et morceaux en lambeaux, ici et là.
Derrière ce vêtement aux allures négligé se cache un corps atrophié au cuire blanchâtre jonché de cicatrices entaillant son corps décharné. Chaque vertèbre de sa colonne vertébrale se dessinent sur son dos courbé, laissant apparaître les douze paires de côtes qui semblent vouloir déchirer sa chaire blême et tachetée d'érythèmes de la même manière que de l'acide qui aurait brutalement calciné son corps. Spectacle insoutenable pour les cœurs sensibles, anatomie à des années lumières des standards de beauté, d'une extrême pudeur, celle s'étant elle-même prénommée en langue nippone « cadavre » met un point d'honneur à limiter la vue de son corps au plus grand nombre, une honte parmi tant d'autres.
Ses cheveux d'un noir profond, abîmés et négligés cachent un visage apathique. Ne daignant porter aucun d'intérêt au concept de charme ou aux canons de beauté. La piètre créature n'accorde donc pas de temps au soin de son apparence. Un mélange d'une nonchalance et d'un profond dédain pour l'instant présent, un air absent comme si le rien l'entourait et le tout était ailleurs, dans une dimension n'existant que dans les tréfonds de son cerveau torturé.
Ses yeux aux iris d'un marron commun sont cernés par une insomnie millénaire. Ils fixent les pavés blancs, espérant constamment de ne pas croiser le regard d'un collègue afin d'éviter une quelconque interaction pouvant engendrer un dialogue, une possible complicité. Lorsque le hasard ou ses obligations le lui imposent, elle n'exhibera qu'une voix tremblotante, hésitante et désaccordée à l'instar d'une adolescente à l'aube de sa puberté, inquiète et angoissée.
Son portrait torturé se cache derrière un uniforme réglementaire commun à toutes les âmes ayant rejoint l'élite de la société des âmes. Aucun kimono ne pouvant s'ajuster à son corps frêle et insignifiant, le vêtement traînant constamment, s'usant plus que d'accoutumée et laissant apparaître sa vétusté prématurée par de nombreux trous et morceaux en lambeaux, ici et là.
Derrière ce vêtement aux allures négligé se cache un corps atrophié au cuire blanchâtre jonché de cicatrices entaillant son corps décharné. Chaque vertèbre de sa colonne vertébrale se dessinent sur son dos courbé, laissant apparaître les douze paires de côtes qui semblent vouloir déchirer sa chaire blême et tachetée d'érythèmes de la même manière que de l'acide qui aurait brutalement calciné son corps. Spectacle insoutenable pour les cœurs sensibles, anatomie à des années lumières des standards de beauté, d'une extrême pudeur, celle s'étant elle-même prénommée en langue nippone « cadavre » met un point d'honneur à limiter la vue de son corps au plus grand nombre, une honte parmi tant d'autres.
Ses cheveux d'un noir profond, abîmés et négligés cachent un visage apathique. Ne daignant porter aucun d'intérêt au concept de charme ou aux canons de beauté. La piètre créature n'accorde donc pas de temps au soin de son apparence. Un mélange d'une nonchalance et d'un profond dédain pour l'instant présent, un air absent comme si le rien l'entourait et le tout était ailleurs, dans une dimension n'existant que dans les tréfonds de son cerveau torturé.
Histoire
Vous êtes libre de présenter votre histoire comme vous le souhaitez (chronologie, RP, formes plus créatives).
Minimum 30 lignes complètes.
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HRP
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OEUVRE D'ORIGINE → [i]DeviantArt [/i] est [b]Kurushimi Shitai[/b]
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