Aviela Garaitz
Données Spirituelles
Grade: La Quinta Espada
Mar 12 Sep 2023 - 14:08 - Life's Too Short
Après tant d’immobilisme, beaucoup de choses s’étaient passées en peu de temps.
L’attaque, loupée, contre les humains.
Un nouveau tournoi.
La découverte au sein de Los Abismos.
L’assaut chez les vivants.
Et enfin la révélation de ces Abyssaux.
De tout cela, je fus témoin. Moi qui cherchais distraction en ce monde afin d’éviter une vie éternelle d’ennui, je ne pouvais qu’être satisfaite. Bien entendu, cela ne pouvait me rassasier. Mais il s’agissait d’un bon début. Je savais apprécier ces instants d’activité, tout comme ceux de calme. Comme maintenant.
Au sein du palais, elle marchait. Le repos était de mise, continuant de récupérer de ses blessures. Les ouvrir d’avantage ne serait guère des plus intelligent pour quelqu’un ayant un sens de la préservation comme le sien. Nul doute que certains pourraient la qualifier de lâche. Mais, parfois, ce sont les lâches qui survivent.
Cette question de survie, d’importance pour elle, en amenait une autre. Il était au sein de La Cámara l’une de ses membres, l’une des rares ayant véritablement éveillé l’intérêt de la Bruja Carmesi, qui était normalement tombée durant le premier des événements récents.
Pourtant, à l’issue du dernier, elle s’était révélée des plus vivantes aux membres de cette expédition.
La Sorcière n’avait jamais caché sa curiosité. Il s’agissait après tout d’une forme d’occupation comme une autre. Sa rencontre avec Asteria avait même été marquée par une curiosité mutuelle, les interrogations s’étant révélées nombreuses. Et si leurs caractères pouvaient être des plus différents, les deux femmes s’étaient retrouvées sur ce point. Ce qui expliquait donc l’entente qu’il pouvait y avoir entre les deux.
Il était donc des plus logique que, ce jour là, son but ne soit autre qu’aller à la rencontre de l’Argentée.
Ainsi, elle ne reconnaissait également qu’une unique mort en vérité. Pourtant, elle souriait, de sa remarque notamment, mais pas que. Son ton était devenu plaisantin, ne laissant que peu de doute sur l’absence de sérieux.
L’attaque, loupée, contre les humains.
Un nouveau tournoi.
La découverte au sein de Los Abismos.
L’assaut chez les vivants.
Et enfin la révélation de ces Abyssaux.
De tout cela, je fus témoin. Moi qui cherchais distraction en ce monde afin d’éviter une vie éternelle d’ennui, je ne pouvais qu’être satisfaite. Bien entendu, cela ne pouvait me rassasier. Mais il s’agissait d’un bon début. Je savais apprécier ces instants d’activité, tout comme ceux de calme. Comme maintenant.
Au sein du palais, elle marchait. Le repos était de mise, continuant de récupérer de ses blessures. Les ouvrir d’avantage ne serait guère des plus intelligent pour quelqu’un ayant un sens de la préservation comme le sien. Nul doute que certains pourraient la qualifier de lâche. Mais, parfois, ce sont les lâches qui survivent.
Cette question de survie, d’importance pour elle, en amenait une autre. Il était au sein de La Cámara l’une de ses membres, l’une des rares ayant véritablement éveillé l’intérêt de la Bruja Carmesi, qui était normalement tombée durant le premier des événements récents.
Pourtant, à l’issue du dernier, elle s’était révélée des plus vivantes aux membres de cette expédition.
La Sorcière n’avait jamais caché sa curiosité. Il s’agissait après tout d’une forme d’occupation comme une autre. Sa rencontre avec Asteria avait même été marquée par une curiosité mutuelle, les interrogations s’étant révélées nombreuses. Et si leurs caractères pouvaient être des plus différents, les deux femmes s’étaient retrouvées sur ce point. Ce qui expliquait donc l’entente qu’il pouvait y avoir entre les deux.
Il était donc des plus logique que, ce jour là, son but ne soit autre qu’aller à la rencontre de l’Argentée.
- >> Eh bien, ne serait-ce nulle autre que l’unique double Revenante existant à ce jour ? Le ton enjoué, écho à la remarque faite lors du retour du monde humain. Ou triple peut-être ? Voir plus si on prend l’ensemble en compte…
Ainsi, elle ne reconnaissait également qu’une unique mort en vérité. Pourtant, elle souriait, de sa remarque notamment, mais pas que. Son ton était devenu plaisantin, ne laissant que peu de doute sur l’absence de sérieux.
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