Hasegawa Emiko
Données Spirituelles
Grade: Ten of Swords
Sam 30 Sep 2023 - 1:03 - dive into the unknown
Beaucoup de choses desquelles tu étais témoin depuis de nombreuses années, plus d’une vingtaine tu dirais désormais, ont commencé à faire sens lorsque tu as rejoint l’Ultima Necat. Qu’il s’agisse d’Hollow ou alors de tes propres capacités physiques, en passant par ce qu’il t’arrivait de ressentir et la façon dont ton pendentif ne faisait plus qu’un avec toi, par moment, tout est devenu plus clair dès lors que tu as compris, que tu as appris, ce dont il s’agissait.
Tu as donc passé de longues semaines entre les murs du quartier général de l’Ultima Necat, que ce soit pour t’entraîner comme tu ne l’avais jamais encore fait jusqu’ici ou alors simplement à lire et à apprendre sur tout ce monde qui s’ouvrait à toi. Après tout, ayant rejoint la section s’occupant des menaces venues d’ailleurs, il te fallait être prête pour les affronter et ça se reflétait de deux façons. La première ? Être suffisamment forte pour pouvoir te battre contre eux, suffisamment confiante en tes propres capacités pour ne rien craindre une fois sur le champ de bataille. La seconde ? Il te fallait connaître tes ennemis. Savoir absolument tout ce que tu pouvais sur ces derniers, toutes les informations récoltées par l’Ultima Necat, pour ainsi être plus à même de leur faire face et de t’opposer à eux.
Et c’est donc ce que tu as fait.
Tu as appris. Et tu t’es entraînée.
Ton fullbring, tu as appris que c’est ainsi que ça s’appelait, était déjà presque une seconde nature pour toi, qui avais éveillé ces pouvoirs un peu en désespoir de cause lorsque tu t’étais retrouvé face à un adversaire à la force bien supérieur à la tienne, lors d’une soirée quelconque alors que tu N’étais qu’une jeune adulte. Et suite à ça, tu en as fait l’utilisation à quelques reprises, sans toutefois abuser, pour ainsi éviter d’attirer l’attention ou éveiller les soupçons de tes proches. Puis, ce n’est pas comme si tu en avais une réelle utilité, les hommes étant des créatures fragiles et les monstres, bien heureusement pour toi, n’ont jamais vraiment fait partie de ton quotidien. Des apparitions ici et là, sans plus.
À entendre l’histoire de d’autres, tu sais que tu peux te considérer chanceuse. Que toi, et ta famille, n’ayez pas eu à souffrir de cette énergie spirituelle qui était la tienne, plus forte que celle des autres t’entourant. Plus alléchante pour ces bêtes ? Peut-être. Il n’y a finalement que ta mère qui en a souffert, sans réelle raison et l’attaque dont elle a été victime et dont elle ne s’est jamais vraiment remise, décédant finalement des complications de ses blessures quelques semaines après ta naissance, est sans doute la source de tes pouvoirs actuels.
La raison pour laquelle tu es devenue une fullbringer.
Et de ces pouvoirs que tu as appris à maîtriser au travers de longs et parfois périlleux entraînements est venue l’envie d’aller plus loin encore. Te surpasser, tu le faisais déjà, mais au travers des rapports et des informations, tu as vite compris que tu pourrais être capable de plus. Capable de plus de puissance, pour ainsi peut-être pouvoir rivaliser avec les ennemis plus coriaces encore.
- T’es certaine que c’est ce que tu veux faire ? Tu roules des yeux, un soupir presque amusé s’échappant de tes lèvres. - Asahi, tu me poses vraiment cette question ? Il hausse des épaules. - C’est dangereux. À ton tour d’hausser des épaules. - C’est toi qui s’assure de me remettre en morceau à chaque fois qu’il m’arrive un truc. Je pensais que tu savais que je ne me soucie pas vraiment de ce qui est dangereux et ce qui ne l’est pas. Puis s’il m’arrive quelque chose, t’es là, non ? Il secoue la tête, ne semblant pas être très emballé à l’idée. - Ça ne me fait pas plaisir, hein, de te retrouver dans cet état-là à chaque fois. Tu lui adresses un sourire, plus sincère avec lui que tu peux l’être avec quiconque d’autre se trouvant entre ces murs. Toutes ces personnes composant ton quotidien. - Je sais que c’est peut-être dangereux mais tu as vu tous les rapports, je peux le supporter. Et l’utiliser à bon escient en prime. Puis, c’est pas comme si tu pouvais vraiment t’y opposer, j’ai l’autorisation. J’ai juste besoin de l’aide d’un Cups.
Doucement, tu retires ton pendentif, héritage familial qui est le tient depuis presque ta naissance, le tendant dès lors vers l’homme se trouvant de l’autre côté du bureau. - Fais-y attention. C’est la première fois que je m’en sépare depuis que je l’ai. Le collier n’a pourtant rien de spécial, en apparence. Une chaîne dorée, avec une tête de tigre. Tu rirais presque du cliché, du tigre pour représenter une famille de yakuzas, s’il n’était pas aussi important pour toi. À l’arrière se trouvait graver le nom de ton père, que portait son père avant lui, et son grand-père et ainsi de suite. - Je vais m’efforcer de ne pas l’abîmer. Je vais juste y installer un mécanisme que tu pourrais activer. Et ainsi pouvoir t’injecter directement dans les veines une dose pure et concentrée de reishi.
Est-ce que ça pourrait s’apparenter à de la drogue ?
Tu préfères ne pas vraiment te poser la question. Encore moins t’intéresser aux risques.
- Donc j’imagine qu’il me faudra l’utiliser pour voir… Ce dont je suis capable ? Il hoche de la tête tout en rentrant quelques informations dans l’ordinateur sur sa droite. - C’est exact. Un peu comme quand tu as découvert sur le tas ton fullbring. Tu laisses entendre un rire. - C’est bon, je verrai ça. Fais-moi signe quand tout est prêt. Tu te lèves finalement. - Et promis, je ferai attention. Car bon, tu n’as pas non plus dans l’idée de (trop) te mettre en danger et encore moins de le faire sans bonne raison. Tu es méticuleuse, tu prends le temps d’observer, de réfléchir, alors loin de toi l’idée de trop risquer.
Lui accordant un dernier sourire, tu te lèves pour quitter la pièce, attendant simplement que ton pendentif te revienne pour ainsi pouvoir reprendre plus franchement les entraînements.
Avec un peu d’angoisse, si tu devais être parfaitement honnête.
Et beaucoup de curiosité, surtout.
Tu as donc passé de longues semaines entre les murs du quartier général de l’Ultima Necat, que ce soit pour t’entraîner comme tu ne l’avais jamais encore fait jusqu’ici ou alors simplement à lire et à apprendre sur tout ce monde qui s’ouvrait à toi. Après tout, ayant rejoint la section s’occupant des menaces venues d’ailleurs, il te fallait être prête pour les affronter et ça se reflétait de deux façons. La première ? Être suffisamment forte pour pouvoir te battre contre eux, suffisamment confiante en tes propres capacités pour ne rien craindre une fois sur le champ de bataille. La seconde ? Il te fallait connaître tes ennemis. Savoir absolument tout ce que tu pouvais sur ces derniers, toutes les informations récoltées par l’Ultima Necat, pour ainsi être plus à même de leur faire face et de t’opposer à eux.
Et c’est donc ce que tu as fait.
Tu as appris. Et tu t’es entraînée.
Ton fullbring, tu as appris que c’est ainsi que ça s’appelait, était déjà presque une seconde nature pour toi, qui avais éveillé ces pouvoirs un peu en désespoir de cause lorsque tu t’étais retrouvé face à un adversaire à la force bien supérieur à la tienne, lors d’une soirée quelconque alors que tu N’étais qu’une jeune adulte. Et suite à ça, tu en as fait l’utilisation à quelques reprises, sans toutefois abuser, pour ainsi éviter d’attirer l’attention ou éveiller les soupçons de tes proches. Puis, ce n’est pas comme si tu en avais une réelle utilité, les hommes étant des créatures fragiles et les monstres, bien heureusement pour toi, n’ont jamais vraiment fait partie de ton quotidien. Des apparitions ici et là, sans plus.
À entendre l’histoire de d’autres, tu sais que tu peux te considérer chanceuse. Que toi, et ta famille, n’ayez pas eu à souffrir de cette énergie spirituelle qui était la tienne, plus forte que celle des autres t’entourant. Plus alléchante pour ces bêtes ? Peut-être. Il n’y a finalement que ta mère qui en a souffert, sans réelle raison et l’attaque dont elle a été victime et dont elle ne s’est jamais vraiment remise, décédant finalement des complications de ses blessures quelques semaines après ta naissance, est sans doute la source de tes pouvoirs actuels.
La raison pour laquelle tu es devenue une fullbringer.
Et de ces pouvoirs que tu as appris à maîtriser au travers de longs et parfois périlleux entraînements est venue l’envie d’aller plus loin encore. Te surpasser, tu le faisais déjà, mais au travers des rapports et des informations, tu as vite compris que tu pourrais être capable de plus. Capable de plus de puissance, pour ainsi peut-être pouvoir rivaliser avec les ennemis plus coriaces encore.
- T’es certaine que c’est ce que tu veux faire ? Tu roules des yeux, un soupir presque amusé s’échappant de tes lèvres. - Asahi, tu me poses vraiment cette question ? Il hausse des épaules. - C’est dangereux. À ton tour d’hausser des épaules. - C’est toi qui s’assure de me remettre en morceau à chaque fois qu’il m’arrive un truc. Je pensais que tu savais que je ne me soucie pas vraiment de ce qui est dangereux et ce qui ne l’est pas. Puis s’il m’arrive quelque chose, t’es là, non ? Il secoue la tête, ne semblant pas être très emballé à l’idée. - Ça ne me fait pas plaisir, hein, de te retrouver dans cet état-là à chaque fois. Tu lui adresses un sourire, plus sincère avec lui que tu peux l’être avec quiconque d’autre se trouvant entre ces murs. Toutes ces personnes composant ton quotidien. - Je sais que c’est peut-être dangereux mais tu as vu tous les rapports, je peux le supporter. Et l’utiliser à bon escient en prime. Puis, c’est pas comme si tu pouvais vraiment t’y opposer, j’ai l’autorisation. J’ai juste besoin de l’aide d’un Cups.
Doucement, tu retires ton pendentif, héritage familial qui est le tient depuis presque ta naissance, le tendant dès lors vers l’homme se trouvant de l’autre côté du bureau. - Fais-y attention. C’est la première fois que je m’en sépare depuis que je l’ai. Le collier n’a pourtant rien de spécial, en apparence. Une chaîne dorée, avec une tête de tigre. Tu rirais presque du cliché, du tigre pour représenter une famille de yakuzas, s’il n’était pas aussi important pour toi. À l’arrière se trouvait graver le nom de ton père, que portait son père avant lui, et son grand-père et ainsi de suite. - Je vais m’efforcer de ne pas l’abîmer. Je vais juste y installer un mécanisme que tu pourrais activer. Et ainsi pouvoir t’injecter directement dans les veines une dose pure et concentrée de reishi.
Est-ce que ça pourrait s’apparenter à de la drogue ?
Tu préfères ne pas vraiment te poser la question. Encore moins t’intéresser aux risques.
- Donc j’imagine qu’il me faudra l’utiliser pour voir… Ce dont je suis capable ? Il hoche de la tête tout en rentrant quelques informations dans l’ordinateur sur sa droite. - C’est exact. Un peu comme quand tu as découvert sur le tas ton fullbring. Tu laisses entendre un rire. - C’est bon, je verrai ça. Fais-moi signe quand tout est prêt. Tu te lèves finalement. - Et promis, je ferai attention. Car bon, tu n’as pas non plus dans l’idée de (trop) te mettre en danger et encore moins de le faire sans bonne raison. Tu es méticuleuse, tu prends le temps d’observer, de réfléchir, alors loin de toi l’idée de trop risquer.
Lui accordant un dernier sourire, tu te lèves pour quitter la pièce, attendant simplement que ton pendentif te revienne pour ainsi pouvoir reprendre plus franchement les entraînements.
Avec un peu d’angoisse, si tu devais être parfaitement honnête.
Et beaucoup de curiosité, surtout.