Kuchiki Toshizo [Vice-Capitaine de la Sixième Division] - Fiche terminée

Zanpakutō : Ozaru (Singe Géant)

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Après avoir prononcé cette phrase, "Agace, Ozaru".
Son katana, d'une belle couleur verte et noire, s'illumine alors. De là, apparaît dans chacun de ses mains deux lames/poings-américains, avec une sorte de tatouage sur le côté lame. Son Zanpakutō ne dépasse pas la taille de sa main, et donc ne peut être utilisé réellement pour se protéger. Par ailleurs, une sorte d'étoffe en tissu, probablement du lin, très léger, semblable à un nuage qui vole au vent, relie les deux Zanpakutō pour n'en faire qu'un. Grâce à cette "arche", Toshizo est toujours libre de ses mouvements comme si ils n'étaient pas reliés.

Sa capacité spéciale est d'absorber une petite partie du reishi/reiatsu de l'ennemi et la stocker dans l'arme. Le tatouage s'illumine en fonction de ce qui est absorbé. Lorsque Toshizo décide que c'est assez, ou bien les lames ont leur tatouage illuminé, il est capable de renvoyer cette énergie absorbée en un seul coup qui vide les deux armes. Il ne peut pas frapper avec une arme, puis avec l'autre, il est obligé de les vider en même temps.

Bankai (pas encore maîtrisé) : Ozaru no Shinken (Poings mortels du Singe Géant)

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Du au fait de sa récente acquisition de cette forme, celle-ci est encore incomplète. Lorsque son Bankai est activé, ses deux lames/poings américains sont remplacés par deux gants d'armes rouges avec des lames au bout circulaires. Dans cette forme, qu'il nomme tout simplement "première forme", augmente sa force d'attaque et sa défense, mais en contrepartie, il perd le fait de stocker l'énergie et la renvoyer comme il le fiasait en Shikai. On peut remarquer une sorte de rouages au niveau de l'épaule, ce dernier semble tourner en fonction des coups qu'il reçoit par son ennemi. Plus le coup de l'ennemi est puissant, plus le rouage va tourner. Sachant que chaque "forme" nécessite plus d'énergie que la précédente pour être remplie. Le rouage a fini un tour lorsque ce dernier devient rouge.

Deuxième forme

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Lorsque le rouage fait un tour complet, son Bankai passe en deuxième forme. La lame triangulaire change un petit peu, et de la fumée sort de son bras. Dans cette forme, il devient simplement plus rapide dans ses coups, ou ses mouvements. La chaleur de ses bras pouvant être relâchées plus ou moins forts pour lui permettre d'aller plus rapidement sur un ennemi.

Troisième forme (non acquise au déblocage du Bankai)

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Lorsque le rouage fait encore un autre tour complet, son Bankai passe en troisième forme. La lame triangulaire de la deuixème forme s'aggrandit, ainsi que la place du Bankai sur le bras. Dans cette forme, ses attaques avec son Zanpakutō est simplement beaucoup plus fort que dans la première forme.

Quatrième et dernière forme (non acquise au déblocage du Bankai)

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Lorsque le rouage fait un dernier tour complet, son Bankai finit par passer dans la quatrième forme, sa forme dite finale, celle qu'elle "serait" directement si son Bankai était complet, ou du moins cela ressemblerait à ça. Les lames triangulaires deviennent des lames parallèles. Et sa capacité du Shikai revient, pouvant absorber une attaque faite de reiatsu ou de reishi et la renvoyer sous la forme d'un coup de poing vers l'ennemi.

A noter que si Toshizo décide de s'arrêter à la troisième forme, il acquiert aussi les capacités des deux formes précédentes. Seulement, il est plus difficile de supporter des coups pour atteindre la troisième forme que la deuxième. Son corps doit donc encaisser beaucoup de dégâts pour utiliser son Zanpakutō à son maximum. Enfin, après avoir décidé une des quatre formes (deux à l'heure actuelle), un compte à rebours de quelques secondes retentit par les rouages qui tournent de l'autre côté dans un bruit métallique. Lorsque le rouage est revenu à sa position initiale, son Bankai revient en première forme, et il faut recommencer. Par contre, si il était en quatrième forme, même si les rouages montrent qu'il est passé en seconde forme, il reste en quatrième jusqu'à arriver à un seul rouage rouge, la première forme. Entre temps, Toshizo n'aura pas été soigné des blessures infligées pour que son Bankai soit en telle ou telle forme.

Alors que ses fonds ont peut-être été versés du ciel grâce à sa bonne étoile d’être né parmi les Kuchiki, les prédispositions génétiques ne pouvaient pas être achetées, et Toshizo est né avec une liste de caractéristiques excentriques qui le distinguent des Shinigami les plus attrayants de sa lignée. Enfant, il a constaté qu'il n'était jamais aussi en forme, grand ou physiquement attrayant que ses camarades de jeu. En fait, il était généralement le plus petit, ce qui est une caractéristique particulièrement tenace qui ne s'est jamais relâchée avec le temps. Malgré de nombreuses tentatives pour normaliser sa taille avec des exercices à moitié sincères, des médicaments expérimentaux et des traitements coûteux, Toshizo se situe à un niveau inférieur à la moyenne, d’à peine un mètre soixante cinq. Toutes les procédures effectuées sur lui tout au long de sa vie ont réussi à lui acheter un résultat modeste, s'il avait grandi naturellement, il aurait été peu probable qu'il ait jamais dépassé la mètre cinquante.

Si vous l’aviez vu il y a encore quelques années, vous seriez entrain de rire de lui. Une figure physique peu impressionnante en plus de sa stature, le futur Vice-Capitaine Kuchiki, était d'une carrure moyenne, ce qui n'inspire pas beaucoup de confiance à ces malheureux Shinigami qui se retrouvent à suivre ses ordres. Toute structure musculaire qu'il ait (et il n'y a pas grand-chose à dire) était enfouie sous deux ou trois couches de graisse, ce qui est tout à fait normal pour la plupart des nobles, et le fait ressembler à n'importe lequel d’entre eux, mais pas un guerrier. Mais pour un membre de l’illustre famille Kuchiki, la forme physique de Toshizo est loin de ce que beaucoup s'attendraient à ce qu'il soit. Ceci, ajouté à sa petite taille et à son attitude généralement indifférente, faisait de lui l'un des officiers nommés les moins menaçants du Gotei 13 actif sur la seule base des apparences.

Mais fort heureusement, cela n’est que du passé. Bien qu’il ne soit pas de la beauté de son cher cousin, il y a une certaine appréciation d’une petite partie des gentes féminines et masculines à son égard. Depuis son changement physique, Toshizo est passé d’un homme obèse de plus de 160 kgs, à un jeune homme de 60 kgs de muscles parfaitement dessinés. Son visage devenant fin, et son regard perçant comme bon nombre des membres du clan Kuchiki. On peut d’ailleurs noter sur son corps deux cicatrices. La première, sur la joue gauche, provient de son entraînement pour le Bankai. La seconde, plus massive, sur une grande partie de son torse, lui provient de l’invasion des Quincy d’il y a une dizaine d’années, lui ayant fait frôler la mort. Vous aurez sûrement remarqué en le voyant ses deux signes distinctifs qui sont un chapeau de paille, et une écharpe rouge. Le chapeau est quelque chose qu'il portait depuis presque toujours, il le change régulièrement mais n'apprécie que trop peu le soleil du Seireitei, voulant se protéger donc de ce dernier. L'écharpe quant à elle, est là pour se rappeler de ses prédécesseurs qui avaient tous le Ginpaku Kazahana no Uzuginu, la fameuse écharpe en argent, aujourd'hui probablement détruite durant l'attaque du Gotei 13. Il porte donc cela comme "remplacement".

Si autrefois son caractère aussi mettait à rude épreuve tous ses intervenants, le nouveau Vice-Capitaine de la Sixième Division n’a pas que changé physiquement. Il a eu ce “déclic” dont on a besoin pour progresser et devenir une meilleure personne, même si l'événement déclencheur était une mort imminente. Ratée, pour notre plus grand plaisir. Aujourd’hui, Toshizo agit comme le devrait un Kuchiki, suivant les étiquettes qu’il avait apprit à la naissance, respectant la hiérarchie, ne se montrant plus comme un idiot pourri gâté. Il lui arrive parfois que le naturel revienne au galop en répondant à d’autres capitaines de manière informelle, mais cela n’est rien comparé à ce qu’il était avant. Toshizo est enfin ce qu’on attend d’un Kuchiki, même si on est bien loin du charisme qu'avaient les membres masculins de la lignée principale de la famille.

Le Vice-Capitaine Kuchiki Toshizo, le petit cousin notoirement gâté du génie Kuchiki Byakuya, est né avec non seulement une cuillère en argent nichée doucement dans sa bouche, mais aussi une cuillère en or, une en platine et en prime des bijoux précieux venant recouvrir ses magnifiques dents blanches. Faire partie d’une famille aussi prestigieuse, si ce n’est LA plus prestigieuse, lui a donné un accès presque illimité à une richesse matérielle que peu de gens pouvaient ne serait-ce qu’à peine imaginer, et cela l'a élevé dans un luxe indescriptible. Ce niveau de soins, l'accès aux commodités de toutes sortes, un portefeuille sans fond, le noble traitement qui sied à un descendant du clan majeur, tout cela a contribué à l'attitude pompeuse que l'homme dégageait généralement lors de sa jeunesse.

Mais avant de parler du présent, parlons tout d’abord du passé. Grand papy Kuchiki avait eu plusieurs enfants, dont Ginrei son fils aîné, dont découlera Byakuya plus tard, et Rihyon, dont découlera Toshizo. Il eut l’idée merveilleuse de mettre en compétition les deux frères, mais cela n’était pas équitable. Lorsque Rihyon arrivait à franchir un cap, son frère était au-dessus de lui à le regarder péniblement essayer de suivre sa voie. De sa vie à sa mort, le pauvre Rihyon ne put jamais ne serait-ce qu’avoir un siège dans une division. Division qu’il fut autorisé à rejoindre par la magnanimité de son grand frère, l’autorisant à rejoindre les rangs de la Sixième Division malgré ses résultats plus que médiocres à l’Académie Shino.

Depuis lors, dès qu’un génie apparaissait dans la famille Kuchiki, il se trouvait dans la branche principale de Ginrei. Ginrei eut un enfant, Sojun, qui pu devenir Lieutenant de la Division très jeune. S’en suivit son petit-fils, Byakuya, qui reprit les rênes de la Division à sa mort. Pauvre Sojin, si il n’était pas mort à la fleur de l’âge, il aurait été un brillant Capitaine. Et même lorsque le sang des Kuchiki ne coule pas dans leurs veines, ils arrivent à intégrer quelqu’un qui deviendra plus tard Capitaine de la Treizième Division. Oui, je parle bien de Kuchiki Rukia ! A côté de ça, Rihyon eut un fils, Isami, mais le pauvre homme n’avait pas assez de Reiatsu pour ne serait-ce que tenir les études de l’Académie Shino. Rihyon perdit espoir qu’un jour la branche secondaire ne puisse briller.

Jusqu’à la naissance de son petit-fils, Toshizo. Peut-être était-ce une sorte de sixième sens grand paternel, mais il avait bon espoir que son petit-fils puisse changer la donne, et que leur branche puisse s’élever. D’ailleurs, il pensait la même chose de son fils, mais passons. Les années passèrent, et très jeune, son grand-père lui apprit les fondements du style de l’épée familial qui lui avait été transmise par son père, et pu sentir un reiatsu assez haut en lui. Enfin, assez haut il faut se calmer. Il était loin d’égaler son cousin de quelques dizaines d’années son aîné qui avait, à son âge, un reiatsu colossal. Toshizo, lui, avait un reiatsu dans la moyenne-haute dira-t-on. Assez pour donner de l’espoir à ce vieil homme.

A partir de là, Toshizo fut pourri gâté comme vous ne l’imaginez même pas. Tout l’argent de la branche secondaire allait pour lui, pour ses envies et ses caprices. Vous voyez Dudsley dans Harry Potter ? PIRE. Et le fait d’être vu comme un messie pour la branche secondaire n’aida pas le jeune homme à se forger un caractère digne d’un Kuchiki. Oh non, on en était loin. Il se mit à avoir des crises pour avoir ce qu’il voulait, alors que pourtant on lui donnait d’un simple claquement de doigts. Et plus il grandissait, et plus il se voyait comme un génie intouchable. Presque divin. Bien entendu, il ne rencontra son cousin que bien des siècles plus tard, après qu’il soit accepté à l’Académie Shino.

Quelques siècles passèrent et Toshizo fut envoyé à l’Académie Shino. Une simple formalité pour un génie comme lui, n’est-ce pas ? Oh, il se mit à énormément travailler pour se montrer à la hauteur des Kuchiki. Pendant… Deux mois ? Après cela, il préféra se relâcher. Pourquoi s’embêter à s’entraîner, à apprendre des techniques de Kidō ou être capable de bouger vite avec le Hoho, alors qu’on a autant d’argent ? Autant laisser les roturiers faire cela à sa place. En tant que membre de la digne famille des Kuchiki, qu’importe ses résultats, sa place était quelque peu prédestinée.

Le plus grand cancre des Kuchiki arriva tout de même à passer l’examen final et du choisir une division. Il fut tout naturel qu’il soit envoyé à la Sixième, sous les ordres de Byakuya. Ce même Byakuya que tout le monde lui rabâchait les oreilles depuis enfants. Byakuya par-ci, Byakuya par-là. Il avait quoi de mieux que lui après tout ? Oh, en le voyant il pouvait comprendre. Même si il n’avait pas le poids qu’il avait, il était à mille lieux de la beauté froide et silencieuse du Capitaine de la Sixième Division. Et quant à sa puissance ? N’en parlons même pas.

Toshizo resta plusieurs siècles dans cette division sans jamais réellement briller. Oui, il alla un peu plus loin que son grand-père en devenant vingtième siège, mais partageant cette place avec bon nombre de Shinigamis, et était sous les ordres directs d’un plus haut gradé. De ce fait, il lui était tout bonnement impossible et impensable de ne serait-ce qu’adresser la parole au grand Byakuya que tout le monde adulait.

Puis vint le procès de Kuchiki Rukia. Enfin une bonne nouvelle pour la branche secondaire en quelque sorte. Un membre de la famille directe était accusée de trahison. Ils allaient enfin pouvoir briller. Toshizo eut l’idée de se battre contre les Ryokas en apprenant leur arrivée, mais fut balayé en même temps qu’une vingtaine d’autres Shinigamis en un coup par notre protagoniste roux préféré, étant mis K.O d’office sans avoir pu montrer l’étendue de ses capacités (minimes), ni pouvoir simplement lui adresser son nom.

A son réveil, Kuchiki Byakuya était blessé, la Soul Society était sans dessus dessous et les Capitaines Aizen, Ichimaru et Kaname furent décrétés traîtres. Tout cela alors que le pauvre Toshizo dormait paisiblement sur l’un des nombreux lits de l’infirmerie de la Quatrième Division. Autant dire que de s’évanouir quand on apprend que les Ryokas sont des ennemis, et se réveiller en apprenant qu’ils sont maintenant des alliés… C’est plus que perturbant. Mais soit.

Puis vint finalement la bataille de Karakura. (Oui, étant beaucoup trop bas dans la hiérarchie, il ne fut même pas au courant du bordel dans le Hueco Mundo). Assigné à domicile, il devra rester dans la Sixième Division durant tout le temps où les Capitaines, Lieutenants et différents hauts gradés se battaient contre ces abominations mi-Shinigami, mi-Hollow. Ah si il y a bien quelque chose qu’il n’aimait pas, c’était les VIzard et les Arrancar. A ses yeux, ils étaient des erreurs de la nature.

Le Gotei 13 revint victorieux de cela, et la paix arriva pendant deux années. Deux années où le Shinigami passait ses journées à dormir, boire de l’alcool, manger plutôt que de s’entraîner. Le caractère de Toshizo ne bougea pas d’un pouce, continuant à se penser meilleur que les autres dû à son appartenance à la famille Kuchiki. Mais un événement vint changer totalement la donne, la Guerre Sanglante des Mille ans.

Si la guerre précédente, la Grande Bataille de l’Hiver, n’avait pas réellement fait de morts ou de pertes côté Shinigamis, celle-ci fut pour le moins désastreuse. Lors des deux assauts de ces derniers, il put voir des camarades mourir, d’autres blessés. Et alors qu’il allait probablement mourir de la main d’un Quincy, toute sa vie défila devant ses yeux. Et la seule chose à en tirer, c’était qu’il se dégoûtait. Était-ce réellement ce qu’il voulait que les gens se souviennent de lui ? Un connard suffisant qui faisait des caprices ? Non. Toshizo ressortit de cette guerre grandit, et repartit même avec une cicatrice sur le torse pour lui rappeler tous les jours qu’il avait failli mourir.

Depuis ce jour, le futur Vice-Capitaine décida de tout changer. Il arrêta la nourriture, les boissons et toutes autres distractions. Il se devait de redorer son image en tant que membre de la famille Kuchiki, même si il n’était pas de la famille principale. De ce fait, le jeune homme qui n’avait encore qu’un Shikai comme tout diplômé de Shino, s’entraîna corps et âme pendant les quatorze années qui suivirent. Au revoir le gros Toshizo, il avait maintenant un corps d’athlète qui sied beaucoup mieux à un Kuchiki. Son regard, autrefois benêt, avait ce je ne sais quoi qui vous dit “ça, c’est un Kuchiki.”

Mais malgré ses efforts, lorsque la Guerre contre les Datenshi fut annoncée, il ne faisait pas le poids. Il put voir nombre de ses camarades mourir au combat, encore une fois. Mais là, les morts étaient démultipliés. En représailles, nombreux Capitaines, Lieutenants et autres haut gradés furent envoyés dans la dimension des ennemis, et… Plus rien. Ils ne revinrent jamais. Peut-être étaient-ils encore en vie derrière, mais il y avait peu d’espoir. Il fallait se rendre à l’évidence qu’ils étaient tous morts, et y figurait dans la liste Kuchiki Byakuya.

Une réunion de crise du clan Kuchiki fut annoncée, afin de choisir le prochain dirigeant de la famille. Il était tout naturel que cette place revienne à Kuchiki Rukia, Capitaine de la 13ème Division.