Kuchiki Haruka
Données Spirituelles
Grade: Capitaine de la Sixième Division
Dim 18 Sep 2022 - 7:17 - Astral Assassin Shark Attack [Sora - Shiori - Daestra]
Compte tenu du fait que la plupart des Shinigami « amnistiés » il y a de cela six ans étaient issus du Nid des Asticots, l'on aurait pu s'étonner que la Deuxième Division - en charge de cette prison singulière - acceptent le moindre d'entre eux dans leurs rangs. Ils avaient, après tout, passé des décennies, parfois des siècles à les voir derrière les barreaux après les y avoir placés eux-mêmes ; l'idée de devoir à nouveau les compter parmi leurs frères d'armes était pour le moins déconcertante.
Tout comme l'avait été la décision d'Igarashi Sora - alors fraîchement promu Capitaine - de demander à accueillir au moins l'une d'entre eux, au moment de remettre entre les mains du haut commandement les dossiers relatifs à chaque prisonnier pour qu'ils fassent leur sélection.
L'on aurait pu y voir une volonté de participer à l'effort de tolérance collectif qui voulait que chaque Division doive désormais accueillir d'anciens détenus de partager leur fardeau. C'était aussi et même surtout un moyen de garder un oeil sur elle... Et de lui attribuer toutes les tâches accessoires - de son point de vue - dont il ne voulait pas avoir à se charger, ou qu'il jugeait indignes de lui. Elles s'avéraient nombreuses.
Sans surprise, cet étrange partenariat s'était rapidement dessiné de telle manière qu'elle héritait de la plupart des tâches administratives et autres « trucs chiants » du même acabit, selon ses propres termes.
Il était également plus qu'heureux de lui confier les rênes de leurs services d'espionnages et de renseignements ; si ces derniers lui avaient fait de l'œil fut un temps, c'était bien moins le cas depuis qu'il avait constaté que cela consistait à éplucher à longueur de journées des compte-rendus lui apprenant qu'untel ne lavait jamais son Shihakushō ou qu'un autre était allergique à la cacahuète.
Seulement, il était des devoirs dont il ne pouvait si facilement se débarrasser, et cela incluait les montées en grades, entre autres actes officiels que seul un individu arborant le haori pouvait légitimement valider. Question de protocole. Et s'il savait devoir prendre en charge l'une de ces rares occasions ce jour, sans quoi sa subordonnée n'aurait pas pris la peine de laisser un mot sur son bureau - elle connaissait les risques -, encore eut-il fallu qu'il puisse déchiffrer le contenu de la note en question.
Ce pourquoi la responsable avait sans cérémonie été conviée à le rejoindre, lorsqu'il était tombé dessus en prenant son poste ce matin-là.
▬ Putain, Shiori, je t'ai déjà dit que j'arrivais pas à lire tes pattes de mouches dégueulasses. Ça dit quoi ?
Tout comme l'avait été la décision d'Igarashi Sora - alors fraîchement promu Capitaine - de demander à accueillir au moins l'une d'entre eux, au moment de remettre entre les mains du haut commandement les dossiers relatifs à chaque prisonnier pour qu'ils fassent leur sélection.
L'on aurait pu y voir une volonté de participer à l'effort de tolérance collectif qui voulait que chaque Division doive désormais accueillir d'anciens détenus de partager leur fardeau. C'était aussi et même surtout un moyen de garder un oeil sur elle... Et de lui attribuer toutes les tâches accessoires - de son point de vue - dont il ne voulait pas avoir à se charger, ou qu'il jugeait indignes de lui. Elles s'avéraient nombreuses.
Sans surprise, cet étrange partenariat s'était rapidement dessiné de telle manière qu'elle héritait de la plupart des tâches administratives et autres « trucs chiants » du même acabit, selon ses propres termes.
Il était également plus qu'heureux de lui confier les rênes de leurs services d'espionnages et de renseignements ; si ces derniers lui avaient fait de l'œil fut un temps, c'était bien moins le cas depuis qu'il avait constaté que cela consistait à éplucher à longueur de journées des compte-rendus lui apprenant qu'untel ne lavait jamais son Shihakushō ou qu'un autre était allergique à la cacahuète.
Seulement, il était des devoirs dont il ne pouvait si facilement se débarrasser, et cela incluait les montées en grades, entre autres actes officiels que seul un individu arborant le haori pouvait légitimement valider. Question de protocole. Et s'il savait devoir prendre en charge l'une de ces rares occasions ce jour, sans quoi sa subordonnée n'aurait pas pris la peine de laisser un mot sur son bureau - elle connaissait les risques -, encore eut-il fallu qu'il puisse déchiffrer le contenu de la note en question.
Ce pourquoi la responsable avait sans cérémonie été conviée à le rejoindre, lorsqu'il était tombé dessus en prenant son poste ce matin-là.
▬ Putain, Shiori, je t'ai déjà dit que j'arrivais pas à lire tes pattes de mouches dégueulasses. Ça dit quoi ?