Akashiya Recca
Données Spirituelles
Grade: Queen of Clubs
Mar 18 Oct 2022 - 22:43 - I'm with you
Presque deux semaines se sont écoulées depuis la soirée de rencontre qu’ils ont passée dans l’ancien club où elle travaillait. Recca avait été très prise ces derniers jours. Entre les préparatifs de l’expédition au Hueco Mundo qui débuterait le lendemain en début d’après-midi et toutes ces heures supplémentaires qu’elle avait effectuées dans la petite supérette où elle travaillait à mi-temps, la rouquine n’avait trouvé que peu de temps pour organiser cette petite sortie. Mais elle n’avait pas eu vraiment le choix. L’expédition était nécessaire, quant aux heures supplémentaires, elles lui servaient à payer ce qu’elle avait organisé pour Orias.
Elle s’était souvenue de certaines choses qu’il lui avait dites et certaines réactions qu’il avait pu avoir. Alors elle avait fait de gros efforts pour trouver ce qui pourrait lui faire plaisir. Afin d’être certaine qu’il soit présent, quelques jours plus tôt, elle a glissé un papier sous la porte de son bureau, indiquant, l’heure et l’endroit où elle souhaitait le retrouver ainsi que la demande qu’il n’ait rien d’autre de prévu de toute la soirée.
Le lieu en l’occurrence, n’est autre que le parking le plus proche du Palais Impérial. C’est là qu’elle l’attend, un peu anxieuse à l’idée qu’il ne vienne pas, ou qu’elle en ait trop fait pour un homme qu’elle connaît à peine. Mais ils avaient passé une soirée si étrange et si riche en émotions négatives qu’elle avait envie de faire quelque chose qui puisse les mettre plus à l’aise et donner un vrai départ à leur relation. Certes, ils ne sont pas obligés de devenir amis, mais elle le veut vraiment, qu’elle puisse avoir au moins ça. Alors certes, tout cela lui coûte cher, mais si on ne vit pas pour se faire plaisir, alors à quoi rime la vie ?
La rouquine se tient adossée contre la portière de la voiture qu’elle a empruntée à l'organisation, un 3008 importé avec toit ouvrant vitré. La moto n’avait pas l’air d’avoir plu au rouquin, alors elle changeait de moyen de transport le temps de se rendre à leur destination finale. Pas de masque, pas de capuche, enfin pas portée sur la tête, juste pendante dans son dos, pas de pantalon de cuir ni de veste en soie. Cette fois, elle est habillée simplement, chaudement aussi, emmitouflée dans son grand manteau noir.
Lorsqu’elle le voit arriver enfin, elle lui sourit, lui fait un signe de la main pour qu’il la repère facilement même si sa longue tignasse rousse est déjà un bon point de repère.
- Merci d’être là. J’avais peur que tu ne viennes pas. À nouveau, elle le tutoie, un réflexe. Peut-être que ça changera au cours de la soirée par mimétisme si lui persiste dans sa propre habitude du vouvoiement. Le trajet va être long, on en a pour une bonne heure et demie. Vas-y monte !
Elle ne lui dit pas encore où ils vont, garde la surprise. Mais elle ne peut s’empêcher de sourire en y pensant. Installée derrière le volant, elle attend qu’il fasse de même pour démarrer. Le regardant en coin, elle l’observe, se demandant s’il est plus à l’aise ou si, quoiqu’elle utilise comme engin de transport cela ne passe pas.
- ça va depuis… L’autre soir ?
Elle s’était souvenue de certaines choses qu’il lui avait dites et certaines réactions qu’il avait pu avoir. Alors elle avait fait de gros efforts pour trouver ce qui pourrait lui faire plaisir. Afin d’être certaine qu’il soit présent, quelques jours plus tôt, elle a glissé un papier sous la porte de son bureau, indiquant, l’heure et l’endroit où elle souhaitait le retrouver ainsi que la demande qu’il n’ait rien d’autre de prévu de toute la soirée.
Le lieu en l’occurrence, n’est autre que le parking le plus proche du Palais Impérial. C’est là qu’elle l’attend, un peu anxieuse à l’idée qu’il ne vienne pas, ou qu’elle en ait trop fait pour un homme qu’elle connaît à peine. Mais ils avaient passé une soirée si étrange et si riche en émotions négatives qu’elle avait envie de faire quelque chose qui puisse les mettre plus à l’aise et donner un vrai départ à leur relation. Certes, ils ne sont pas obligés de devenir amis, mais elle le veut vraiment, qu’elle puisse avoir au moins ça. Alors certes, tout cela lui coûte cher, mais si on ne vit pas pour se faire plaisir, alors à quoi rime la vie ?
La rouquine se tient adossée contre la portière de la voiture qu’elle a empruntée à l'organisation, un 3008 importé avec toit ouvrant vitré. La moto n’avait pas l’air d’avoir plu au rouquin, alors elle changeait de moyen de transport le temps de se rendre à leur destination finale. Pas de masque, pas de capuche, enfin pas portée sur la tête, juste pendante dans son dos, pas de pantalon de cuir ni de veste en soie. Cette fois, elle est habillée simplement, chaudement aussi, emmitouflée dans son grand manteau noir.
Lorsqu’elle le voit arriver enfin, elle lui sourit, lui fait un signe de la main pour qu’il la repère facilement même si sa longue tignasse rousse est déjà un bon point de repère.
- Merci d’être là. J’avais peur que tu ne viennes pas. À nouveau, elle le tutoie, un réflexe. Peut-être que ça changera au cours de la soirée par mimétisme si lui persiste dans sa propre habitude du vouvoiement. Le trajet va être long, on en a pour une bonne heure et demie. Vas-y monte !
Elle ne lui dit pas encore où ils vont, garde la surprise. Mais elle ne peut s’empêcher de sourire en y pensant. Installée derrière le volant, elle attend qu’il fasse de même pour démarrer. Le regardant en coin, elle l’observe, se demandant s’il est plus à l’aise ou si, quoiqu’elle utilise comme engin de transport cela ne passe pas.
- ça va depuis… L’autre soir ?