Kyūbū Reijiro
Données Spirituelles
Grade: Knight of Swords
Jeu 20 Oct 2022 - 14:29 - Sans rancune, hein ? [Pv : Orias]
Y’a des fois dans l’vie, ‘faut aller se mouiller, ‘faut pas avoir peur d’aller donner d’sa personne si on veut que l’choses restent sous contrôle. Parce que si t’attends que la vie s’en charge pour toi, t’peux être certain que ça va te déchirer l’fesses bien comme il faut. Déjà parce que ça ira rar’ment dans ton sens, et surtout parce que y’a ce p’tit truc important à garder en tête, qui s’appelle l’karma, qui aime bien v’nir t’en mettre une dès qu’il en a l’occasion. Saut chassé l’deux pieds collés direct dans ta bouche, l’affaire est réglée.
Moi l’karma, j’ai eu plusieurs vies pour l’expérimenter et c’pas souvent qu’il était d’mon côté c’sale p’tit con. Alors j’fais en sorte d’pas lui laisser l’occaz’ d’venir frapper trop souvent. C’qui explique pourquoi aujourd’hui, j’ai une visite à rendre. Trois fois rien, juste une connaissance à aller voir et lui glisser quelques mots à propos d’une histoire qui lui viendra rapid’ment aux oreilles, peut-être, si la personne décide d’l’ouvrir à ce sujet. J’sais pas si j’lui ai laissé suffisamment d’dents en place pour l’faire, mais on sait jamais.
Une gonzesse, quand ça veut t’pourrir l’vie, ça réussit très bien à l’faire. Et c’tte poufiasse de Mitski, parce que j’finis par apprendre son p’tit nom en me renseignant d’mon côté, bah elle semblait déter’ à m’emmerder, quand j’l’ai croisé. Alors d’puis que j’lui ai mis l’museau dans l’mur, plus rien. Pas vu, pas entendu parler d’elle, mais eh, l’précautions. Two of Coins, qu’elle avait dit être. J’l’entends encore brailler l’grandeur de Orias-King, comme elle l’appelait. Bordel d’merde, ça m’fout en rogne rien que d’y repenser, elle m’a chié d’ssus c’tte conne ! Forcément qu’j’ai réagis ! M’enfin moi, j’pas b’soin de me convaincre, j’sais que j’ai pas déconné et que j’ai bien répondu. Mais Orias, lui…
Bah il en sait rien, d’tout ça. Ou alors il est d’jà au courant, mais il connaît pas l’vraie histoire. Et s’il croit qu’j’ai volontairement encastré dans l’mur une de ses subordonnées, y’a moyen que ça plaise moyen à tout l’monde et que j’me retrouve avec des emmerdes sur l’coin d’la fiole. Alors j’vais aller lui causer et on va faire disparaître l’problème, si problème ça doit d’venir, c’tte histoire.
J’vais direct’ment le trouver dans son bureau, pas b’soin de demander mon chemin ou d’avoir un guide, j’connais un peu la maison d’puis le temps. Mine de rien, c’gars-là est dans l’Ultima d’puis aussi longtemps que moi. On a pris nos fonctions la même année, y’a de ça six ans maint’nant. En six ans, j'ai eu l'temps d'venir ici quelques fois. D’tous les Kings et Queens qui gèrent les sections, on est l’plus anciens en activité. Et truc encore plus marrant, c’est qu’on est tous l’deux roux ! Et encore plus drôle, on a tous l’deux une sale cicatrice sur l’tronche, au même endroit d’la gueule ! C’est ouf non ? Alors ouais, l’mienne prend un peu plus d’place, mais la sienne a d’quoi faire quand même. Ah et, dernier point en commun, il est aussi perché qu’moi, mais ça c’est un détail.
Rendu d’vant la porte de son bureau, j’percute que j’ai même pas pris la peine de ramener quelque chose à boire. C’quand même plus sympa de discuter de choses chiantes quand on picole un peu, surtout quand l’sujet chiant est une grognasse. ‘Va falloir faire sans hein, dommage…
Trois coups secs à la porte, avec c’qu’il faut d’puissance pour se faire entendre et faire comprendre que c’pas n’importe quel péquenot qui se trouve derrière. Des fois qu’il serait occupé et qu’il aurait envie d’m’ignorer, ça m’arrive souvent d’le faire aux autres donc j’connais la combine.
J’ai l’autorisation d’entrer, m’fait pas prier et pénètre dans l’pièce avec un sourire carnassier aux lèvres. Moi, j’trouve ça toujours sympa d’retrouver un King ou une Queen, c’pas quelque chose qui arrive souvent perso’. J’sais pas si c’est parce qu’ils m’aiment pas ou si c’est parce que j’les intimide trop, mais bon c’comme ça. — Yo Orias ! Comment ça va ? Grand signe d’la main, j’ai les châsses qui s’perdent un peu en observation. — C’toujours aussi bien rangé ici tiens ! Bon c’clair que j’ai toujours l’impression que tout est mieux rangé que mon bureau qui est un bordel sans nom. — J’espère que j’te déranges pas, y’a un p’tit quelque chose que j’aimerai t’dire concernant un d’tes gars. Rien de méchant hein, j’suis pas Hanae, j’veux pas t’apprendre à gérer ta section ! Giah-ah-ah ! Ma p’tite Blondie, sympa mais un poil envahissante au boulot.
D’la main, j’tire vers moi une chaise pour mieux y poser mes miches, c’quand même plus agréable de causer assis quoi.
Moi l’karma, j’ai eu plusieurs vies pour l’expérimenter et c’pas souvent qu’il était d’mon côté c’sale p’tit con. Alors j’fais en sorte d’pas lui laisser l’occaz’ d’venir frapper trop souvent. C’qui explique pourquoi aujourd’hui, j’ai une visite à rendre. Trois fois rien, juste une connaissance à aller voir et lui glisser quelques mots à propos d’une histoire qui lui viendra rapid’ment aux oreilles, peut-être, si la personne décide d’l’ouvrir à ce sujet. J’sais pas si j’lui ai laissé suffisamment d’dents en place pour l’faire, mais on sait jamais.
Une gonzesse, quand ça veut t’pourrir l’vie, ça réussit très bien à l’faire. Et c’tte poufiasse de Mitski, parce que j’finis par apprendre son p’tit nom en me renseignant d’mon côté, bah elle semblait déter’ à m’emmerder, quand j’l’ai croisé. Alors d’puis que j’lui ai mis l’museau dans l’mur, plus rien. Pas vu, pas entendu parler d’elle, mais eh, l’précautions. Two of Coins, qu’elle avait dit être. J’l’entends encore brailler l’grandeur de Orias-King, comme elle l’appelait. Bordel d’merde, ça m’fout en rogne rien que d’y repenser, elle m’a chié d’ssus c’tte conne ! Forcément qu’j’ai réagis ! M’enfin moi, j’pas b’soin de me convaincre, j’sais que j’ai pas déconné et que j’ai bien répondu. Mais Orias, lui…
Bah il en sait rien, d’tout ça. Ou alors il est d’jà au courant, mais il connaît pas l’vraie histoire. Et s’il croit qu’j’ai volontairement encastré dans l’mur une de ses subordonnées, y’a moyen que ça plaise moyen à tout l’monde et que j’me retrouve avec des emmerdes sur l’coin d’la fiole. Alors j’vais aller lui causer et on va faire disparaître l’problème, si problème ça doit d’venir, c’tte histoire.
J’vais direct’ment le trouver dans son bureau, pas b’soin de demander mon chemin ou d’avoir un guide, j’connais un peu la maison d’puis le temps. Mine de rien, c’gars-là est dans l’Ultima d’puis aussi longtemps que moi. On a pris nos fonctions la même année, y’a de ça six ans maint’nant. En six ans, j'ai eu l'temps d'venir ici quelques fois. D’tous les Kings et Queens qui gèrent les sections, on est l’plus anciens en activité. Et truc encore plus marrant, c’est qu’on est tous l’deux roux ! Et encore plus drôle, on a tous l’deux une sale cicatrice sur l’tronche, au même endroit d’la gueule ! C’est ouf non ? Alors ouais, l’mienne prend un peu plus d’place, mais la sienne a d’quoi faire quand même. Ah et, dernier point en commun, il est aussi perché qu’moi, mais ça c’est un détail.
Rendu d’vant la porte de son bureau, j’percute que j’ai même pas pris la peine de ramener quelque chose à boire. C’quand même plus sympa de discuter de choses chiantes quand on picole un peu, surtout quand l’sujet chiant est une grognasse. ‘Va falloir faire sans hein, dommage…
Trois coups secs à la porte, avec c’qu’il faut d’puissance pour se faire entendre et faire comprendre que c’pas n’importe quel péquenot qui se trouve derrière. Des fois qu’il serait occupé et qu’il aurait envie d’m’ignorer, ça m’arrive souvent d’le faire aux autres donc j’connais la combine.
J’ai l’autorisation d’entrer, m’fait pas prier et pénètre dans l’pièce avec un sourire carnassier aux lèvres. Moi, j’trouve ça toujours sympa d’retrouver un King ou une Queen, c’pas quelque chose qui arrive souvent perso’. J’sais pas si c’est parce qu’ils m’aiment pas ou si c’est parce que j’les intimide trop, mais bon c’comme ça. — Yo Orias ! Comment ça va ? Grand signe d’la main, j’ai les châsses qui s’perdent un peu en observation. — C’toujours aussi bien rangé ici tiens ! Bon c’clair que j’ai toujours l’impression que tout est mieux rangé que mon bureau qui est un bordel sans nom. — J’espère que j’te déranges pas, y’a un p’tit quelque chose que j’aimerai t’dire concernant un d’tes gars. Rien de méchant hein, j’suis pas Hanae, j’veux pas t’apprendre à gérer ta section ! Giah-ah-ah ! Ma p’tite Blondie, sympa mais un poil envahissante au boulot.
D’la main, j’tire vers moi une chaise pour mieux y poser mes miches, c’quand même plus agréable de causer assis quoi.