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Sugimoto Teruo

Données Spirituelles
Grade: Vice-Capitaine de la Huitième Division
Lun 7 Nov 2022 - 2:56 - Sugimoto Teruo [Terminée]

Sugimoto Teruo

Race Shinigami
Âge ~ 230 Ans


Grade Vice-Capitaine de la Huitième Division


Benizuru

L’esprit de son Zanpakutō est … Un Flamant Rose. Si la forme se veut décevante à première vue, n’est-il pas plus intéressant de considérer ce simple flamant tel un majestueux poulet enflammé, soit l’essence même d’un Phoenix ? Allez savoir si la perception de Teruo a changé l’âme de son arme ou si les deux se sont juste bien trouvés. D’un Flamant à un Phoenix, il semblerait qu’il n’y ait qu’un pas.

Spoiler:

Benizuru est une arme atrocement simple. Libéré sous forme Shikai, le traditionnel Katana se drape d’une apparence sauvage, à la croisée du Cimeterre et du Guandao. Une poignée d’un bon mètre fait la part belle à une lame à minima aussi longue, dont les courbures ne sont pas sans rappeler celle d’un cimeterre de guerre. D’aucun parleraient d’une arme plus à même d’être utilisée pour l’exécution que le combat, ce qui n’est pas pour déplaire au style peu conventionnel, à la limite du sanguinaire de notre Shinigami. Tailler, découper, ventiler … Toutes sortes de possibilités.

Spoiler:

La libération de l’arme lui octroie également la capacité de contrôler des flammes roses-orangées, qui ne semblent vouloir réagir à la matière. Si elles gardent les propriétés du feu, à savoir la chaleur, elles sont toutefois dépourvues de fumée et ne brûlent absolument rien. Un coup porté par sa lame enveloppé de son pouvoir tranche, fait saigner, mais ne cautérise la plaie ni ne brûle la peau. En revanche, les nerfs de la personne touchée lui enverront le même signal que s’il venait d’être frappé par une arme enflammée. Un outil parfait pour torturer, chose dont notre héros n’est ironiquement guère maître. Au pire, ça servira de radiateur l'hiver.
Sugimoto Teruo [Terminée] P-shini

Description

La grande complexité d’un homme se traduit par l’extrême simplicité de ses expressions faciales. Oubliez ces inepties. Si le rouge sang de ses pupilles semblent annoncer votre mort atroce imminente, c’est que notre homme n’a sans doute qu’une vague envie de thé. Si ses lèvres se retroussent à en former un sourire plus carnassier qu’un piranha, c’est peut-être qu’il s’extasie du souvenir de son rêve de la nuit passée. Il serait approprié de dire simplement qu’il est un homme impossible à lire, mais un grand sage aurait dit, un jour, que l’impossible n’est jamais qu’un petit obstacle. M’est-avis que l’énigme auto-proclamée Sugimoto Teruo a mangé ce grand sage. Ou l’aurait-il épousé ?

L’inadapté est adaptable, sait se fondre dans la masse par la norme standard de ses dimensions et la régularité de ses traits généraux. Son seul atout tranchant la banalité restant sa longue tignasse brune, dont l’entretien semble relégué au dernier des plans. Un physique à la hauteur de son caractère apparent, tant la monotonie de son expression faciale se complaît dans une neutralité à même de donner une personnalité au quidam ; il gardera toutefois une certaine élégance, aidé par la sobriété manifeste de l’uniforme du Shinigami.

Non aidé par sa désinvolture apparente, son histoire est semée de quiproquo et autres instabilités mentales. Comprenez qu’il arrive à rendre chèvre beaucoup de monde en un temps record, sans toutefois le comprendre lui-même. Si vos réactions sont de l’ordre de votre normalité, n’est-ce pas les autres qui arrivent à être atypiques ? Sa capacité à passer du rire aux larmes en un temps record sans déclencheur particulier n’est jamais devenue qu’une banalité. Difficile alors de s’attacher à des valeurs éthiques et morales comme la loyauté, le sens du devoir, ou une guerre d’idéaux au nom du bien et du mal. À ce titre, il serait de bon ton de se questionner sur sa participation aux efforts du Gotei ; nous n’aurons qu’une réponse. Pourquoi pas ?

Il faudra savoir se contenter de cette maigre description. N’allez. Jamais. Parler. Avec lui. Non qu’il soit difficile d’approche, ou violent d’une quelconque manière. Il se plaira juste, dans sa normalité, à vous parler de tout et de rien, d’une façon totalement contrastée avec ses propos. Vous demander poliment mais fermement de bien vouloir mourir sur le champ entre deux ingrédients de la préparation d’un gâteau ne doit pas non plus vous troubler. Il ne fait qu’attraper ses pensées au vol et les faire rouler sur sa langue, après tout. Il saura néanmoins satisfaire vos soirées autour d’un feu de camp à coups d’anecdotes et de pans d’histoire – Fussent-elles de son imagination, à vous d’en décider. Il n’est en réalité pas impossible d’échanger, c’est simplement incroyablement difficile de garder le fil, et il faut savoir ne pas se prendre au piège d’essayer de deviner où il veut en venir. Peut-être ne vient-il pas. Peut-être est-il déjà parti ? Peut-être n’a-t-il jamais été là …

SI en quelques années il aura connu une ascension fulgurante, faisant office de pierre à la reconstruction du Gotei 13, il n’en garde pourtant aucune arrogance. Il serait plus juste de dire qu’il n’est pas touché par le concept même de l’égo. Insultez-le, piétinez-le, idolâtrez le … Du pareil au même, il n’y a aucune plaie dans laquelle remuer quelconque couteau. S’il peut être considéré comme un fait que sa maîtrise des arcanes du Shinigami - du traditionnel Zanpakutō aux arts nécromants – ont été maîtrisés en un laps de temps aussi court qu’il n’en faut à une page pour se tourner, il n’existe tout simplement aucun réel moyen de comparaison. Sans doute la Soul Society aura bénéficié d’élèves bien plus doués dans cet apprentissage. Ou peut-être était-il simplement destiné à ce rôle. Dans un cas comme dans l’autre, Teruo ne sera jamais celui à ramener ses médailles sur le tapis.

Ce manque d’égo ne concerne toutefois que les interventions extérieures. Le sien se place tout particulièrement bien dans le mot égocentrique. Sans but et sans barrières, ou celles qu’il acceptera – parfois malgré lui, certes – et sans doute sans ambition particulière, mais étonnamment très centré autour de lui-même. La vie des autres appartient aux autres, la sienne n’appartient jamais qu’à lui. Normal alors de ne se concentrer quasi exclusivement que sur ça, et advienne que pourra. Comprenez qu’il n’ira jamais sacrifier sa vie pour sauver celle d’un autre. Il ne jugera toutefois pas la moindre âme le faisant et ne sera pas davantage répugné par les actes dits de grand mal. Les choses sont comme elles sont, il les accepte avec un pragmatisme naturel. Il n’est toutefois pas impossible qu’un jour lui vienne une certaine notion d’attachement, mais le sentiment lui reste à ce jour radicalement étranger.
Sugimoto Teruo [Terminée] P-shini

Histoire

-|| Qu’est-ce que tu fais ?
-|| Autre chose que dormir, manger, chier ou m’entraîner.
-|| Hein ?
-|| …

Tels étaient les mots de l’officier en charge de leur secteur, au dojo nouvellement créé par les hautes instances du nouveau conseil militaire. Un moustachu plus adepte de l’haltérophilie que de la voie du sabre, en charge de faire de vagabonds des renforts potentiels aux rangs du Seireitei. À partir de maintenant, à part le temps utilisé pour manger, chier et dormir, vous ne ferez que vous entraîner pour devenir plus forts ! avaient été ses premiers mots. Les seuls que Teruo avait eu la patience d’écouter avant de se demander ce qu’il était venu faire ici. Une lubie, une vague idée l’ayant amené à côtoyer les Shinigamis. Peut-être en devenir un. Pourquoi ? Qui sait, on n’a pas toujours besoin de savoir pourquoi. Une nouvelle réponse finira bien par arriver, etcetera, etcetera …

-|| Je comprends pas ce que tu fais là. T’as pas l’air d’être à ta place …
-|| Ma place, c’est là où je vais, non ?
-|| Directement les débats philosophiques ? Vraiment ?
-|| J’ai envie d’un Manju.

Décollant sa rétine du paysage de bois et d’herbe des baraquements, il se levait enfin avant de prendre la route du réfectoire. Rien n’est plus important que la lubie du moment, dût-elle être de très courte durée. Manju ce sera, qu’importe les obstacles pour y parvenir.
Sur la table choisie, devant son assiette où trônaient deux magnifiques gâteaux traditionnels dont la fumée laissait s’échapper l’odeur d’haricots à la vapeur. Son interlocuteur précédent prenait place face à lui, comme déterminé à vouloir lui parler. La réalité étant, Teruo avait oublié jusqu’à son existence, avant de s’en remémorer l’écœurement. Là tout de suite, il ne l’aime pas. Et il aura décidé qu’il ne l’aimera jamais, c’est comme ça et c’est tout.

-|| Tu sais, je te connais.
-|| …
-|| Je t’ai vu, avec ta bande dans le district, il y a longtemps. Tu la jouais chef de gang, j’ai jamais compris le délire.
-|| Hmm.
-|| Alors, monsieur le Yakuza, qu’est-ce que tu fous chez les Shinigamis ?

Un instant de réflexion. Un chef de gang ? Lui ? Il comprenait décidément de moins en moins. Y avait-il quoi que ce soit à comprendre, de toutes façons ? Les deux doigts sur le menton, la tête penchée légèrement sur sa gauche, il montrait sa longue phase de réflexion. Cherchant dans ses souvenirs, se remémorant jusqu’au détail le plus insignifiant. Puis frappa la tranche de son poing dans le creux de sa paume. Le fameux « Ah ! » insonore, pourtant son écho résonnait encore dans son esprit. Ce fameux gang … C’est à dire les trois larbins qui semblaient vouloir le suivre partout où il allait quand il trimballait ses guiboles au Rukongai. Il n’en a jamais vraiment pris conscience, mais la particularité vire rapidement au charisme.
Prêtant peu attention à son entourage, ou n’insistant que peu dessus, Teruo se donnait malgré lui un air à part. Et pour qui suffoque, la présence d’air se veut promesse rutilante. Il n’a pour ainsi dire jamais manqué de se trimballer quelque larron, joyeux ou non, qui semblaient le considérer comme d’importance. Ainsi naquit la fameuse légende du gang du Rukongai … Qui n’aura jamais rien fait que se vautrer partout où ça en aura eu l’air confortable. Tu parles d’une organisation criminelle ; peut-être aura-t-il oublié de payer son déjeuner un après-midi pluvieux, vraiment, un génie démoniaque.

C’est toute l’histoire de notre héros malgré lui. Tout le monde lui prête sans cesse des intentions, et semble vouloir associer ses propres visions à ses réactions. Lui ne fait pourtant que suivre le vent, libre de toute forme de liberté, justement. Il n’aura jamais été libre, à proprement parler. A défaut de savoir où il allait, il se contentait de suivre les aspirations de ses rencontres, et marchait devant. Non pour suivre une route précise, mais bien parce qu’une route est faite pour être empruntée, non ? Aussi l’amalgame est facile. Il n’avait jamais été gangster, mais acceptait simplement l’idée qu’on puisse le penser. Et sans agir nécessairement en conséquence, l’étiquette semblait vouloir lui coller au train. Il n’aidait pas vraiment à laisser penser l’inverse non plus, n’ayant jamais tenté de faire le bien autour de lui. Se contenter d’errer, se poser et profiter avant de repartir en quête d’un destin similaire.

Mais qui dit prêter des intentions dit jalousie. Aussi, les quelques vrais chefs de gangs et autres clampins dits lascars n’ont jamais eu mieux à faire que de vouloir bousculer la tranquillité de son quotidien. « J’aime pas ta tête », « Tu veux ma place, c’est ça ? » et autres « Je veux être calife à la place du calife » n’auront pas été un franc succès pour remette les points sur les i. Mais auront eu le mérite de traîner sa carcasse sur la voie du guerrier, si biscornue soit-elle. Loin d’être un herbivore, Teruo aime se battre et ne s’en cache pas. Il en aura gagné par la force des choses un aspect sanguinaire, tant les tripes de ses ennemis sauront teindre sa peau en écarlate. Difficile alors de ne pas passer pour le vilain, quand on étripe les petits couteaux dans les ruelles au su du tout-venant. Esquisser un sourire drapé de l’intestin d’un coupe-jarret quelconque en guise d’écharpe n’a jamais eu pour habitude d’être considéré saint, et les rumeurs ne tardèrent pas à faire leur bonhomme de chemin, le dépeignant tel le Yakuza du coin. Quant à savoir si l’importance de l’information avait l’ombre d’un sens pour lui, allez savoir.

-|| Ils ont de la nourriture. Et de l’alcool. Et des jolis vêtements. Et casse toi.

Ce sont en effet les seules raisons ayant amené Teruo à tenter de rejoindre les Shinigamis. Il n’en fallait réellement pas plus. Sa vie n’avait déjà aucun sens authentique au Rukongai, pourquoi pas tenter quelque chose ? Avec un peu de chance, il y trouverait des intérêts particuliers. Ou peut-être rien, mais ça lui était égal.

__________________________



La méditation, le confort de l’esprit, ne faire qu’un avec la nature, croiser les jambes et se prendre pour Buddha … Conneries. Si se perde dans son propre cerveau peut s’y apparenter, alors en effet Teruo se veut maître de la méditation. Passer ses journées à littéralement rien branler en laissant les larbins travailler, y’a que ça de vrai. Jusqu’à ce qu’il se passe quelque chose de suffisamment intriguant pour se bouger les fesses. Tel était devenu son train de vie, dès lors qu’il avait enfilé officiellement le traditionnel uniforme de Shinigami. Son caractère déviant lui avait valu de se faire remarquer, et ses capacités l’avaient propulsé à vitesse folle. Quoi que la vitesse se voulait relative, tant les changements opérés en seulement quelques années s’étaient voulus massifs. Un édifice millénaire se remaniant en un laps de temps si court, il ne fallait pas s’étonner qu’un individu aussi chaotique y ait su tirer son épingle du jeu. Quoi qu’il n’ait pas tant eu son mot à dire, les prises de fonction s’étant voulues par d’autres que lui.

Soldat, siège, autre-siège, etcetera … Le système hiérarchique de la Soul Society semblait partir dans des chemins incongrus, au petit bonheur de qui sortait sa tête du groupe en premier. Si la course au poste n’a jamais été importante à son sens, savoir profiter de ses attributions lui convenait fort bien. Pouvoir picoler à son gré sans qu’un chien de garde ne puisse le rapporter à un supérieur, ou se balader sans but sans être constamment ramené de force à la dure réalité du travail se voulaient prises de liberté à la limite de la défiance, pouvant parfois poser la question de sa légitimité. Qu’on soit clairs pour autant, il n’est aucune question d’une quelconque reconnaissance envers les hautes instances pour l’avoir accepté en tant que Shinigami. Le contrat se voulait on ne peut plus clair ; on panse nos plaies, on recrute dans un brassage plus large que nos traditions le veulent à la base. Il y aurait fort à parier qu’il n’aurait jamais eu la possibilité d’intégrer ces rangs sous la règlementation en vigueur il y a quelques années à peine, et pourtant, il était maintenant aussi important au sein des anges de la mort qu’il aurait su être problématique à l’époque. C’est que la nature doit bien savoir faire les choses.

Il n’avait aucun souvenir des instances précédentes. Si une paire de de siècle s’était écoulée depuis son arrivée dans ce monde, il n’avait jamais pris la peine de comprendre ce qu’il se passait chez les plus nobles. Il avait su capter une ou deux informations par la suite, dépeignant un tableau plutôt pessimiste quant aux capacités des treize divisions. Il n’aurait pas été trop dur de considérer sa génération comme celle du grand remaniement, du renouveau sur toile blanche. Il côtoyait autant la crème de la noblesse que des criminels notoires, quand bien même la gravité des faits reprochés semblait injustement proportionnelle aux seules possibilités. L’idée qu’il aurait lui-même pu être enfermé fut-une époque pour des raisons aussi aberrantes ne provoquaient jamais qu’un vague sourire, tant les faits lui donnaient à ce jour raison.

Le messager s’en était allé il y a quelques temps de ça déjà. Teruo avait eu toutes les peines du monde à ne pas hurler de rire devant l’uniforme traditionnel de ces courriers. Un heaume aussi ridicule aurait dû disparaître avec l’ancienne génération de capitaines, s’était-t-il dit. Mais le sujet du message lui avait permis de garder les pieds sur terre - autant qu’on puisse en dire le concernant. Encore une promotion. Et encore une fois, il n’avait rien demandé. Il ne demandait de toutes façons jamais rien. Il se contentait d’être, et force est de constater qu’être suffit aux pontes pour vous accorder toute leur confiance. Ou peut-être n’ont-ils simplement personne d’autre pour remplir les bancs, ce qui serait d’un plus mauvais augure encore.

-|| Vice-Capitaine, hein ? Je me demande s’il y a un moyen de rendre le bandeau un peu plus Fashion …

Se dodelinant de droite à gauche, comme pour remuer l’idée dans sa tête pour lui donner un nouvel angle, il n’en pensait véritablement que ça. L’annonce d’une promotion de le choquait pas, mais il ne l’attendait pas non plus. Et après cette révélation, il n’avait pas changé. Son quotidien ne changerait sans doute pas. Ou peut-être davantage de paperasse, mais rien de gênant. S’il se plaisait à refiler son boulot à ses subordonnés, il ne faisait pas rien pour autant. Ni le strict minimum, ni davantage, ni même réellement ce qu’on attendait de lui. Quand il fallait signer des formulaires, il pouvait être là. Ou pas. C’était totalement dépendant de son humeur et de ses envies du moment. Il n’était ni paresseux ni zélé, il avait juste son propre rythme. En toutes choses, tous temps. Aucune habitude, aucune routine, le simple fil de ses pensées – quand il en avait.

-|| Hmm, nan. Je vois pas.

La question du bandeau, signe distinctif du vice-capitaine, était réglée. A défaut de savoir quoi en faire, il verrait bien le moment venu. Pourquoi pas en faire une coquille pour se protéger les parties, au cas où un Hollow trop zélé voudrait éteindre l’espèce à la racine ? Il y avait quand même peu de chances pour que … Bref. Tant pis. Plus tard. Ou jamais. Les pensées se voulaient balayées aussi rapidement qu’elles étaient venues. Rien d’assez percutant, une inspiration en berne. Après un soupir – à sa propre encontre - il se levait finalement, balayant du regard l’horizon, cherchant dans ses souvenirs l’apparence approximative du bâtiment où il devait se rendre. Coquille, bandeau ou presse-papiers, sa prochaine possession n’attendait plus que lui.

Sugimoto Teruo [Terminée] P-shini

HRP

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The Return of the Crazy Demon→ [i]Yi Zaha[/i] est [b]Sugimoto Teruo[/b]

Comment avez-vous connu le forum : Il y a 10 ans, j'ai dit que j'arrêtais. C'est râté.

Parrain : Igarashi Sora, mais j'aimerai que son bonus soit un malus, merci.

Est-ce un double-compte ? Nope

https://www.before-tomorrow-comes.fr/t654-sugimoto-teruo-vice-ca

Sugimoto Teruo

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Kuchiki Haruka

Données Spirituelles
Grade: Capitaine de la Sixième Division
Lun 7 Nov 2022 - 5:30 - Sugimoto Teruo [Terminée]

Comme quoi tout arrive...

J'ai le plaisir de te valider au grade de Vice-Capitaine de la 8e Division !

Ton rang attribué est celui d'expert, ce qui te donne droit à 12 PC, 3 PB et 2600 Reiryoku à répartir librement dans ta FT. Tu disposes également de 2100 PV, sans parler les :
  • 5 techniques N1 ;
  • 4 techniques N2 ;
  • 2 techniques N3 ;
  • 1 technique N4 ;
  • 2 aptitudes (1 N1 & 1 N2).

Pour constituer ta fiche technique, je t'invite à relire plus avant le système de combat et suivre le modèle de FT dans ta zone de faction où tu pourras poster ton sujet.

Comme d'accoutumée, le bureau du Staff est à ta disposition en cas de question.

Je te souhaite à présent bon jeu sur BTC, au plaisir de te défoncer rencontrer en RP !
https://www.before-tomorrow-comes.fr/t1454-kuchiki-haruka-en-cou

Kuchiki Haruka

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