Ogasawara Kōga
Données Spirituelles
Grade: 9e siège de l'Hachibantai
Dim 13 Nov 2022 - 15:40 - Paper Cuts
Besoin de se changer un peu les idées. Il était parfois difficile de toujours maintenir son rôle public. La différence entre la vision qu’il voulait donner de lui-même et ce qu’il était réellement avait parfois de quoi lui peser. Et ainsi nécessitait qu’il puisse s’accorder quelques moments pour souffler. Se recueillir, réfléchir, sans avoir besoin d’être dans la représentation. Pour cela il savait où se réfugier. Quelque part où l’on respectait le rang, et la différence de classe sociale. Où un Ogasawara pouvait recevoir un respect distant, et ne serait pas embêté. La Sixième Division savait de coutume arborer une certaine dignité en effet, tenant en bonne partie au fait que les Kuchiki aient régné sur cette Division plusieurs générations durant.
Ce qu’il pouvait bien venir y faire ? Eh bien, il faisait partie de la Huitième Division, en charge du Seireitei News Magazine. Cela ne lui donnait-il pas un très bon alibi pour consulter les archives récentes ? Il se moquait bien d’avoir un dossier en particulier. Un peu de lecture au calme, pouvoir penser à autre chose qu’à la prison que constituait sa vie depuis son coup d’éclat face à sa tante. Ainsi donc, l’accès qu’il demandait n’impliquerait pas d’archives sensibles, et pour la liberté de la presse il n’aurait sans doute pas trop de souci à pouvoir y accéder. Simple formalité, n’est-ce pas ?
Aussi dès lors qu’il pourrait se rendre aux archives, il prendrait quelques dossiers au hasard, qu’il commencerait à feuilleter. Mais était-il en droit de se sentir véritablement seul et sans surveillance ?
Ce qu’il pouvait bien venir y faire ? Eh bien, il faisait partie de la Huitième Division, en charge du Seireitei News Magazine. Cela ne lui donnait-il pas un très bon alibi pour consulter les archives récentes ? Il se moquait bien d’avoir un dossier en particulier. Un peu de lecture au calme, pouvoir penser à autre chose qu’à la prison que constituait sa vie depuis son coup d’éclat face à sa tante. Ainsi donc, l’accès qu’il demandait n’impliquerait pas d’archives sensibles, et pour la liberté de la presse il n’aurait sans doute pas trop de souci à pouvoir y accéder. Simple formalité, n’est-ce pas ?
Aussi dès lors qu’il pourrait se rendre aux archives, il prendrait quelques dossiers au hasard, qu’il commencerait à feuilleter. Mais était-il en droit de se sentir véritablement seul et sans surveillance ?