Ange gardien

Sous sa forme scellé, Shugo Tenshi est un odachi au manche entièrement blanc avec une large garde ovale doré ou est gravé une aile de chaque côté du manche. En shikai, celui-ci s'affine pour devenir une longue lame droite blanche pointue dont la garde prend la forme de plusieurs paires d'ailes d'ange blanche décorative ainsi que des courbes métalliques doré remontant pour couvrir la main qui tient le manche, lui aussi en or et décoré de pierres bleues. Son Shikai lui donne une grande paire d'ailes angélique et elle peut créer des auréoles qui suivent ses cibles pour les soigner ou compliquer leur combat en leur conférant de pâles auras.

Spoiler:

Les traits doux, pâles et enfantins d'Emiko la représentent parfaitement. Elle a cette innocence et pureté qui lui permet de ne pas penser à mal. Cela va jusque du désintérêt, la petite shinigami n'hésite pas a aider les autres sans distinction, mais sa naïveté l'empêche de faire preuve de jugement. Elle a déjà soutenu des personnes alors que ces dernières avaient de mauvaises intentions envers elle. La jeune Watari sait se montrer courageuse, particulièrement pour protéger ceux qui l'entourent. Emiko n'aime pas combattre et la violence, mais elle a apprit que c'était un mal nécessaire pour son devoir de shinigami et pour aider ses camarades. Elle est particulièrement proche d'un homme qui est un papa pour elle. S'en prendre à lui, c'est sûrement le moyen le plus rapide de la mettre en colère. Ils échangent amour, soutien et se rassurent entre eux, même s'il est beaucoup plus fort qu'elle. Il arrive qu'Emiko lui fasse voir de toutes les couleurs grâce à quelques caprices et un humour espiègle. Elle aime bien lui laisser des bricolages et des dessins qui sont parfois des rébus, se montrant créative.

Une sensation d'apaisement et une douce chaleur qui la quittait doucement, comme si on venait de la bercer. C'est ce que ressentait la petite Emiko en se reveillant, non pas sur un matelas, mais sur de la terre battue a force d'être trop foulée. Elle se retrouvait au milieu d'une ville médiévale qui lui sembait être un labyrinthe interminable et surpeuplée. L'enfant était sur qu'elle ne s'était pas endormie au milieu d'une rue, mais elle était incapable de se rappeler de tous ce qui précédait son réveil, mise a part comment elle s'appelait. La panique s'était emparer d'elle. Sans aucun repère, elle s'était mise a chercher ses parents, mais elle ne savait plus qui ils étaient. Totalement perdue, Emiko s'était mise a pleurer, mais personne ne s'arrêra pour l'aider. Il lui fallut du temps pour retrouver son calme et décider a explorer les environs.

Elle trouva une place ou avait lieu un marché, ce qui fut un soulagement, car elle avait faim. La plus part des marchands la chassèrent de leurs étales parce qu'elle n'avait pas de sous. Certains d'entrain eux avaient vu dans la besoin d'Emiko une opportunité, la faisant travailler durement pour de maigre repas. Heureusement, elle n'y resta pas longtemps parce qu'un jour quelqu'un se soucia d'elle. La vendeur pour qui Emiko travaillait a ce jour la était brutale. Il l'avait méchamment poussé a terre alors qu'elle portait une caisse trop lourde pour son petit gabarit, se plaignant qu'elle était trop lente. Les larmes aux yeux, quelqu'un l'aida a se relever. C'était un grand monsieur fin et musclé avec un visage sévère égarer dans une longue chevelure argenté ébourrifée. Il encendia le marchand pour le traitement qu'il avait envers Emiko. Il finit part revenir par cette dernière et par se présenter comme Shunshō Hirō. Ce dernier invita Emiko a l'accompagné, lui promettant un endroit ou elle serait bien. Elle lui fit confiance et le suivit pendant qu'il faisait des courses. Leur promenade se termina hors de l'étrange ville, devant un grand batiment en bois non lui d'une petite rivière.

Entrée dans ce lieu fut l'une des meilleurs chose qui arriva a Emiko. Hirō et elle fut acceuillit par un attroupement d'enfants de tous ages ainsi que deux femmes, l'une était jeune et l'autre agée. Elle dut se présentée avant d'être emmenée par les autres enfants pour jouer avec eux et faire connaissance. Elle passa un très bon moment et elle fut heureuse quand on l'invita a rester, cela lui évitait une autre nuit a errer dehors. Le soir venu, voyant qu'on se préparait a aller se coucher autour d'elle, elle demanda quand est ce qu'on allait manger. Cette question créa une suprise auprès des dames puis de la réfléxion auprès des dames qui gèraient l'endroit. Emiko nota cette réaction se demandant si elle avait dit quelques chose de bizzare ou de mal, mais elle fut rassurée quand on lui promit un repas pour le lendemain. Elle put profiter le confort d'une chambre même si elle était partagée et d'un futon, ce la changeait de la rue.