Ogasawara Kōga
Données Spirituelles
Grade: 9e siège de l'Hachibantai
Dim 4 Juin 2023 - 15:06 - Unforgiven
Pour lui, c’en était presque complètement oublié déjà. Juste un vague souvenir auquel il ne se rattachait pas particulièrement. Certes, Kōga n’avait aucun doute sur le fait que c’était bel et bien arrivé, juste que cela ne valait pas vraiment la peine qu’il y pense encore. Il fallait croire cependant que son dernier passage au sein de la Onzième Division avait marqué d’autres esprits.
Ce fut un jour sombre, où l’Ogasawara n’avait eu en tête que de se défouler. D’extirper les ombres occupant ses pensées en pratiquant l’art transmis par son père. Il était alors entré dans les quartiers de cette Division réputée pour ses guerriers au corps à corps, et avait défié l’assemblée de lui offrir un combat digne de ce nom. Il n’était pas sûr d’avoir bien retenu son prénom, mais vu la manière dont le combat s’était déroulé, cela avait suffit à ce qu’il se prouve à lui-même que son don était toujours aussi affûté.
S’il n’était pas un des plus grands guerriers que la Soul Society pouvait compter en son sein, au moins était-il capable de vaincre un siège de la Onzième sans avoir à trop en souffrir, ce qui ne signifiait pas rien. Pourtant, lorsqu’il repensait à cet acte à présent, il savait que ce n’était que vanité. La vacuité d’un orgueil mal placé. Chose qui apparemment n’empêchait pas de respirer ces rustres qui le hélaient.
Ils l’avaient reconnus. N’avaient pas aimé son comportement. Des métaphores grossières fusèrent ensuite, et l’Ogasawara d’ores et déjà s’était arrêté et soupirait, sans leur adresser encore un regard. Il y avait deux voies principales qui se dessinaient devant lui. Reprendre sa marche. Faire et laisser dire. Peu lui importait que des êtres si largement inférieurs se gaussent, l’aigle n’a que faire des cloportes. L’autre voie consistait à laver son honneur ici et maintenant, dans le sang s’il le fallait. Il tourna la tête alors dans leur direction. Son regard mordoré se voit parer d’arcs électriques, et son visage ne dit assez long sur ses intentions pour les calmer sur-le-champ. S’ils avaient été témoins de son affrontement, ils savaient qu’ils n’avaient aucune chance s’ils n’avaient même pas de siège dans leur division. Et même là, il faudrait au moins être parmi les dix premiers pour que ça offre un minimum de challenge.
Ce fut un jour sombre, où l’Ogasawara n’avait eu en tête que de se défouler. D’extirper les ombres occupant ses pensées en pratiquant l’art transmis par son père. Il était alors entré dans les quartiers de cette Division réputée pour ses guerriers au corps à corps, et avait défié l’assemblée de lui offrir un combat digne de ce nom. Il n’était pas sûr d’avoir bien retenu son prénom, mais vu la manière dont le combat s’était déroulé, cela avait suffit à ce qu’il se prouve à lui-même que son don était toujours aussi affûté.
S’il n’était pas un des plus grands guerriers que la Soul Society pouvait compter en son sein, au moins était-il capable de vaincre un siège de la Onzième sans avoir à trop en souffrir, ce qui ne signifiait pas rien. Pourtant, lorsqu’il repensait à cet acte à présent, il savait que ce n’était que vanité. La vacuité d’un orgueil mal placé. Chose qui apparemment n’empêchait pas de respirer ces rustres qui le hélaient.
Ils l’avaient reconnus. N’avaient pas aimé son comportement. Des métaphores grossières fusèrent ensuite, et l’Ogasawara d’ores et déjà s’était arrêté et soupirait, sans leur adresser encore un regard. Il y avait deux voies principales qui se dessinaient devant lui. Reprendre sa marche. Faire et laisser dire. Peu lui importait que des êtres si largement inférieurs se gaussent, l’aigle n’a que faire des cloportes. L’autre voie consistait à laver son honneur ici et maintenant, dans le sang s’il le fallait. Il tourna la tête alors dans leur direction. Son regard mordoré se voit parer d’arcs électriques, et son visage ne dit assez long sur ses intentions pour les calmer sur-le-champ. S’ils avaient été témoins de son affrontement, ils savaient qu’ils n’avaient aucune chance s’ils n’avaient même pas de siège dans leur division. Et même là, il faudrait au moins être parmi les dix premiers pour que ça offre un minimum de challenge.
- - Vous parlez de me rabattre le caquet… et avec quelle armée comptez-vous faire ça ?