Fiche de Matalai Urei -Terminer 2.0

Guide les vers leurs trépas Maïso.

Après avoir appelé son shikai ce dernier perds sa forme de sabre pour prendre celui d’une petite faucille fait en os qui permets d’être aisément manié à une main, mais peut difficilement bloquer les attaques des autres armes.

Quand Urei active le pouvoir de son shikai, une zone d’ombre se crée à proximité ou sous sa cible puis des bras squelettiques sortent de ses ‘portails’ pour venir saisir sa cible et l’immobilisé cherchant à recouvrir complètements. Les portails peuvent se former sur n’importe qu’elle surface qu’elle soit solide ou liquide. Il peut faire apparaitre jusqu’à trois zones d’ombre simultanément d’un mètre de diamètre chaqu’un ou une seule zone de 2 mètres de diamètre.

Le shinigami n’a pas une stature imposante contrairement à plusieurs de ses semblables. Mesurant seulement 1 mètre 67 pour un physique très moyen. Malgré son entraînement quotidien, aux yeux de certaines divisions du Gotei 13, il est parmi les shinigami en moins bonnes conditions physiques du Seireitei ce qui ne lui pose pas un grand problème à ses yeux.

Toujours revêtu d’un habit traditionnel de Shinigami équipé d’une capuche, il est par contre souvent en piteux état sauf lors des réunions officielles avec des gradées. On ne voit que très rarement l’intégralité de son visage dissimulant son nez et sa bouche sous un lourd masque de cuir tandis que le haut de sa tête est enfoui sous un profond capuchon. Il arrive parfois que des membres de sa division le dérangent durant ses travaux et l’aperçoivent, la tête nue laissant dévoiler des cheveux noirs attaché qui tombe vers l’arrière de sa nuque et qui se termine au niveau de ses omoplates. Ses yeux, qu’il s'efforce de cacher, ont la particularité d’être vairon, celui de gauche est brun clair tandis que celui de droite est d’un vert forêt.

Ayant vécu un très long moment en ermite, il souffre de ce qu’on peut appeler d’anachronisme et il est déphasé avec le monde d’aujourd’hui. Bien qu’à la Soul Society il se contente de ne pas trop regarder ce qui se passe du côté de la 12e divisons, pour lui vivre dans un gigai au sein du monde des humains sans assistance est extrêmement compliqué dû à son manque de connaissance. Il a un grand respect envers les traditions et la hiérarchie de sa division qui sont deux choses que le temps n’a pas encore réussi à changer malgré les années qui sont passé.

Ne prenant que rarement la parole dans des discussions ouverts, il est beaucoup plus celui qui écoute, qui porte attention aux détails que celui qui parle devants tous et bien qu’il ne soit pas du genre à faire la conversation pour parler de la pluie et du beau temps, il ne lui est pas impossible de prendre des nouvelles de ses camarades proches ou de le voir en train de parler avec un autre membre de sa division de leur méthode pour exécuter-t-elle ou-t-elle sceau.

Le sceau qui se rapproche le plus de la perfection qu’il est un jour fait est posé sur quartes petits rouleau de parchemins. Enfermé en permanances dans des tubes de métals supporter par des lanières de cuir aux deux extrémités et d’un sceau qui fait office de serrures, Urei les gardes sur lui en toute circonstance car les informations qu’il renferme lui sont très personnel. Pour les experts dans le domaine et qui s’attarde sur le sceau, ils peuvent remarquer qu’il n’ait en rien conventionnel.

Me voilà de retour dans le Rukongai après plusieurs dizaines d’année. De retour à l’endroit où j’ai grandi. J'aperçois la petite cabane où je jouais étant gamin avec d’autres enfants que je ne reconnais même plus aujourd'hui. La cabane en bois est située à une heure de marche à l’intérieur d’une grande forêt composée de sapin, d’érable et de quelques bouleaux au sein du 52e district Sud. L’effet du temps à fait son œuvre sur mon petit refuge durant mon absence, mais elle reste toutefois acceptable avec quelques ajustements comme endroit pour élaborer et perfectionné certains sceaux ou kekkai. La porte d’entrée a tout simplement disparu, par certain endroit dans le plafond on peut remarquer des gouttes d’eau qui tombes avant de percuter le sol et un petit trou dans le bas d’un des murs permet à la vermine d’entré.

Après quelques mois de travaux aidés par les habitants du district qui était content de savoir qu’un shinigami s’installait non loin de leur village les rénovations était terminé, mais je gardais une certaine distance sentimentale envers eux et surtout avec les enfants. Moins qu’il me considère comme agréable, moins qu’ils ont de chances de venir me déranger et cela a fonctionné me donnant le calme et la tranquillité. Les deux principales raisons de mon isolement à l’extérieur du Seireitei. J’ai passé mes premières années d’ermitage a peaufiné mes bases dans le Kidō qui étais tout juste acceptable à la sortie de l’académie pour que j’intègre le Kidōshū et malgré les quelques mois passé avec eu, leurs méthodes de perfectionnement ne convenait pas à quelqu’un qui avait pris sept années pour compléter le parcours de l’académie.

Par la suite, les années ont commencé à défiler les unes après les autres et elles finissent par tous se ressembler au fils du temps. Maïso , mon Zanpakutō, est rapidement une oreille et un deuxième avis sur certaines choses même s’il était rarement d’un avis différent du miens. Une fois par an, le Seireitei envoyait un shinigami me visiter pour s’assurer que j’étais toujours en vie et savoir si mes recherches sur le Kidō avançait. Officiellement, mes travaux n’ont abouti à rien de concluant, rien que le Gotei 13 a de besoin. Officieusement, la réponse est toute autre et va devoir le rester, mais par chance la disparition des quelques âmes qui étais propice à développer du Reiatsu dans le 58 district n’a pas fait poser beaucoup de questions.

Mon retour au sein du Seireitei a été quelque peu difficile. Pour certains j’avais tout simplement fui les récents conflits que ce soit contre le Wandenreich ou l'ancien Sanguinaire Satsubatsu Kyōaku , mais leurs avis ne m’importaient peu. Par contre les changements qu’a subis la douzième me laisse un sentiment d’incompréhension vis-à-vis de toutes leurs nouvelles choses créations.