Borick
Données Spirituelles
Grade: Tercera Espada
Ven 2 Sep 2022 - 17:08 - Borick "El Emperador" [Terminé]
Borick
Race Arrancar (Vasto Lorde)
Âge Inconnu (plus de 600 ans)
Grade Primera Espada - Membre de La Cámara
Pouvoir
Dominación
Asservissement et contrôle des Hollow n'ayant aucune personnalité propre (dont Gillian/Menos Grande)
Asservissement et contrôle des Hollow n'ayant aucune personnalité propre (dont Gillian/Menos Grande)
Description
Il est dit que les apparences peuvent parfois être trompeuses. Il est dit que le beau peut parfois cacher le pire. Borick en est l’exemple parfait. Qui pourrait croire que derrière ce visage angélique se dissimule un être complexe ? Un véritable démon ?
Guère impressionnant physiquement, atteignant difficilement le mètre soixante-dix-sept, il ne semble pas être taillé pour le combat. Paradoxal pour celui qui est la Primera Espada. Il faut dire qu’il préfère miser sur son énergie spirituelle plutôt que sur ses talents à l’épée. L’intox et l’intimidation de l’adversaire sont deux armes qu’il manie à merveille. Homme élégant au possible – tant par ses manières que par sa façon de s’habiller –il porte une attention extrême à son paraître. Si bien qu’il préfère son apparence actuelle, forme scellée, plutôt qu’à celle du monstre qu’il est réellement.
Le blanc, synonyme de pureté dans bien des civilisations, est devenu sa couleur de prédilection. A l'opposé des ténèbres dont il se pare lorsqu'il prend sa véritable apparence. Poussant cette particularité jusqu’à la propre apparence de son Zanpakutō qui, de la pointe de la lame à la garde, possède cette blancheur immaculée. Si l’on s’attarde un peu sur sa lame, on constate qu’il s’agit d’une rapière, joli clin d’œil au groupe auquel Borick appartient. Une arme d’estoc, qui n’a absolument pas pour but de trancher l’ennemi mais plutôt de viser juste. La précision au détriment de la puissance. La garde, très élaborée, semble être un prolongement du bras d’El Emperador, une arme splendide qui sied à un noble. Des gants complètent finalement son attirail, accessoires qu’il n’enlève qu’à de très rares occasions et dont la raison est gardée sous silence.
Blonds comme les blés, ses longs cheveux encadrent parfaitement le visage de l’Espada, tombant un peu après ses épaules. De nombreuses mèches recouvrent la partie gauche de son visage, lui permettant de camoufler au mieux le morceau de masque arraché que possède tout Arrancar. Le sien débute à partir de sa tempe gauche pour redescendre jusqu’à sa pommette. Son sourire quasi permanent lui donne l’impression d’être de bonne compagnie et d’humeur égale… Une mascarade pour un homme se considérant comme supérieur à tant d'autres.
Mais ce n’est qu’une façade. N’est-il pas plus facile ainsi de berner ses ennemis et ses amis ?
Car derrière ce masque de courtoisie se cache un homme profondément méfiant et extrêmement calculateur, qui considère que la vie – sa vie ? – n’est qu’un gigantesque jeu et que seuls les plus débrouillards sauront tirer leur épingle du jeu. Il n’aime pas particulièrement combattre et c’est pourquoi il préfère se servir de ce qu’il appelle vulgairement « la chair à canon ». Autant de pions à sacrifier que nécessaire, tant que ses projets aboutissent. Auto-proclamé « El Emperador », du véritable nom de son Zanpakutō, sa trop grande confiance en lui en fait un homme narcissique et imbu de sa personne. Il semble par ailleurs manier aussi bien les mots qu’un soldat manie son épée. Beau parleur, il compte sur ce don pour enjôler ceux dont il a besoin. Il aime se cultiver, expliquant qu'il est aussi indispensable d'aiguiser son esprit que sa lame.
Calme et réfléchi, il reste maître de ses émotions, répugnant à se laisser aller à une colère déplacée et indigne de sa condition.
Guère impressionnant physiquement, atteignant difficilement le mètre soixante-dix-sept, il ne semble pas être taillé pour le combat. Paradoxal pour celui qui est la Primera Espada. Il faut dire qu’il préfère miser sur son énergie spirituelle plutôt que sur ses talents à l’épée. L’intox et l’intimidation de l’adversaire sont deux armes qu’il manie à merveille. Homme élégant au possible – tant par ses manières que par sa façon de s’habiller –il porte une attention extrême à son paraître. Si bien qu’il préfère son apparence actuelle, forme scellée, plutôt qu’à celle du monstre qu’il est réellement.
Le blanc, synonyme de pureté dans bien des civilisations, est devenu sa couleur de prédilection. A l'opposé des ténèbres dont il se pare lorsqu'il prend sa véritable apparence. Poussant cette particularité jusqu’à la propre apparence de son Zanpakutō qui, de la pointe de la lame à la garde, possède cette blancheur immaculée. Si l’on s’attarde un peu sur sa lame, on constate qu’il s’agit d’une rapière, joli clin d’œil au groupe auquel Borick appartient. Une arme d’estoc, qui n’a absolument pas pour but de trancher l’ennemi mais plutôt de viser juste. La précision au détriment de la puissance. La garde, très élaborée, semble être un prolongement du bras d’El Emperador, une arme splendide qui sied à un noble. Des gants complètent finalement son attirail, accessoires qu’il n’enlève qu’à de très rares occasions et dont la raison est gardée sous silence.
Blonds comme les blés, ses longs cheveux encadrent parfaitement le visage de l’Espada, tombant un peu après ses épaules. De nombreuses mèches recouvrent la partie gauche de son visage, lui permettant de camoufler au mieux le morceau de masque arraché que possède tout Arrancar. Le sien débute à partir de sa tempe gauche pour redescendre jusqu’à sa pommette. Son sourire quasi permanent lui donne l’impression d’être de bonne compagnie et d’humeur égale… Une mascarade pour un homme se considérant comme supérieur à tant d'autres.
Mais ce n’est qu’une façade. N’est-il pas plus facile ainsi de berner ses ennemis et ses amis ?
Car derrière ce masque de courtoisie se cache un homme profondément méfiant et extrêmement calculateur, qui considère que la vie – sa vie ? – n’est qu’un gigantesque jeu et que seuls les plus débrouillards sauront tirer leur épingle du jeu. Il n’aime pas particulièrement combattre et c’est pourquoi il préfère se servir de ce qu’il appelle vulgairement « la chair à canon ». Autant de pions à sacrifier que nécessaire, tant que ses projets aboutissent. Auto-proclamé « El Emperador », du véritable nom de son Zanpakutō, sa trop grande confiance en lui en fait un homme narcissique et imbu de sa personne. Il semble par ailleurs manier aussi bien les mots qu’un soldat manie son épée. Beau parleur, il compte sur ce don pour enjôler ceux dont il a besoin. Il aime se cultiver, expliquant qu'il est aussi indispensable d'aiguiser son esprit que sa lame.
Calme et réfléchi, il reste maître de ses émotions, répugnant à se laisser aller à une colère déplacée et indigne de sa condition.
Histoire
L'Empereur
Cela faisait déjà plusieurs jours qu'ils avaient entrepris ce périple. Et enfin, le Palais de l'Hybris apparaissait au loin. Alors qu'ils avaient marchés sans relâche depuis le début, l'un des deux hommes fit une halte. Il paraissait inquiet, visiblement en proie à des pensées particulières. Observant au loin les ombres et ces pics majestueux avec appréhension. Ils vivaient presque reclus depuis bien longtemps afin de ne pas attirer l'attention mais les choses évoluaient. L'Arrancar derrière lui paraissait calme, souriant même. Tout de blanc vêtu, il portait un sabre de la même couleur à la ceinture. De long cheveux blonds tombaient en en cascade sur ses épaules tandis que son regard ambré embrassait l'horizon.
Le second Arrancar, celui qui avait ordonné la halte, s'approcha de l'Immaculé. Lui aussi portait un sabre à la taille. Brun, moins richement vêtu que le premier, il portait sur son visage et ses avant-bras nus les cicatrices d'anciens combats qui l'avaient marqués. Il était un soldat, sans le moindre doute, et il avait une attitude clairement déférente à l'égard du blondinet.
- - Seigneur Borick, est-ce vraiment la chose à faire ? Jusque là, vous avez toujours refusé de prendre parti. Je ne comprends pas pourquoi ce revirement.
Il avait abaissé la tête lorsque le regard du dénommé Borick s'était tourné vers lui. Pourtant, aucune trace d'animosité sur le visage enfantin de celui-ci. Un simple sourire, alors qu'il remettait d'un geste de la main l'une des mèches qui lui étaient tombées sur le visage. Un tic qu'il avait depuis plusieurs années.
- - Il n'est pas étonnant que cela t'échappes, Alecto. Mais je ne te garde pas auprès de moi pour réfléchir, tu sais. Ne te fais pas de mal comme cela. Sache simplement qu'il est temps pour moi de prendre la place qui me revient de droit. Je sais ce que je fais et les risques que je prends.
Dans la voix, nulle trace d'arrogance. Il s'agissait d'un fait, d'une simple vérité qu'il énonçait. Depuis la fin de l'ère précédente, de grands changements s'opéraient au sein du Hueco Mundo. Une ère qui avait vu une nouvelle fois les choses se répéter : les Hollows et les Arrancars avaient subis les conséquences d'une occupation par un ennemi toujours plus puissant, toujours plus redoutable, déclenchant de terribles combats au sein d'un Hueco Mundo qui n'appartenait plus depuis longtemps à ses créatures d'origine. Satsubatsu Kyōaku avait finalement disparu, comme tant d'autres avant lui. Ce qui avait engendré l'émergence de nouvelles personnalités. Ou de plus anciennes mais tapies dans les ténèbres du Hueco Mundo.
Notamment quatre groupes qui semblaient tirer leur épingle du jeu. Avec à leur tête des noms qui imposaient le respect. Borick s'était évidemment renseigné : même en retrait, il fallait toujours s'informer des choses qui se produisaient afin de ne jamais se laisser surprendre. Il avait alors entendu cette rumeur sur l'Acuerdo. Une sorte de statu quo, un pacte, permettant à tous de vivre dans une sécurité relative. Arrancars comme Hollows devaient choisir afin de ne pas se retrouver au milieu d'une possible guerre de faction, choisir pour ne pas être isolé.
Rien d'étonnant alors à ce que La Cámara et son Palais de l'Hybris s'imposent à lui d'emblée. Un clan dirigé par Melchom Ayperos, un Revenant qui avait été appelé par l'ancien propriétaire des lieux. La Cámara se hissait au dessus de la masse. Ils se servaient car le monde leur appartenait. Une philosophie que Borick avait embrassé depuis bien longtemps maintenant. Son regard se posa sur l'Arrancar qui le servait depuis un moment maintenant.
- - Je suppose que je n'ai pas besoin de te rappeler la tâche qui est la tienne, n'est-ce pas ? Tu sais ce qu'il te reste à faire. Et lorsque tu seras parmi eux, n'oublies jamais à qui va ton allégeance.
Cela sonnait clairement comme une menace couverte. L'homme hocha la tête. Il le savait, en effet. Et si le projet de son maître ne lui plaisait pas, il le servirait fidèlement comme il l'avait toujours fait. Une mission périlleuse. L'Arrancar en avait conscience mais cela valait la peine de tenter quelque chose. De nouveau il reporta son attention vers le Palais. Alecto savait ce qu'il lui restait à faire. Borick n'était pas homme à précipiter les choses, s'il agissait maintenant, c'est seulement parce qu'il avait un plan et que le moment était venu. Lui aussi devait partir. Pour une autre mission, afin de servir les intérêts de son Seigneur. Sans un mot, il prit la direction opposée, laissant alors Borick à sa contemplation. Il n'entendit même pas les dernières paroles de l'Empereur, emportées dans les airs.
- - Ce monde sera mien.
Une simple formalité
La clameur ne cessait de gagner en intensité alors que les dernières fumées de l'attaque précédente s'estompaient. Tout à fait indemne, Borick se tenait là, stoïque, avec son sempiternel sourire aux lèvres. Il avait passé toutes les étapes de ce fameux tournoi afin de pouvoir prétendre à un rôle au sein de la nouvelle Espada. Et voilà qu'il était désormais en finale. Depuis qu'il avait rejoins La Cámara, sa réputation n'avait fait que s'accroître. Comme il s'y était attendu, la philosophie de ce clan était en parfaite adéquation avec ses propres convictions, ce qui lui avait permis d'être lui-même sans la moindre difficulté. Seulement ce n'était pas suffisant. Afin de satisfaire ses ambitions et de lui permettre de mieux comprendre ce qui se tramait au sein de ce monde, il devait en devenir un acteur majeur. Le tournoi était là pour ça. Car quelle autre unité que l'Espada lui permettrait d'asseoir sa supériorité sur les autres ?
Les premières étapes n'avaient été qu'une formalité pour lui. Mais la finale s'annonçait plus corsée que prévue. Rien d'étonnant lorsqu'on savait que ce tournoi regroupait les meilleurs combattants des quatre clans confondus. Afin de faire honneur à La Cámara et à Melchom, Borick avait donc joué le jeu avec sérieux. Lui qui se savait au dessus de la masse, il ne pouvait prétendre à aucune autre place que celle de Primera Espada. Et cela passait nécessairement par une victoire lors de cette finale. Tout autre résultat étant interdit. La silhouette ennemie sortit du cratère formé par l'assaut précédent. Lui par contre paraissait moins en forme que le blondinet.
- - Impressionnant. Vraiment, je le pense. Tu as survécu à cette attaque, tu sais donc désormais de quoi je suis capable. Je vais te faire une proposition honnête. Retire-toi. Sauve ta vie. Pour un être tel que toi, vivre dans la honte ne doit pas être rare n'est-ce pas ? Cela n'est-il pas préférable à la mort ?
En une phrase, Borick se moquait clairement de l'honneur et du courage de son adversaire, tout cela avec ce sourire insupportable qui le caractérisait.
- - Penses à ton clan, ils ont encore besoin de toi. Après tout, ce n'est pas comme si vous disposiez de véritables combattants. Ne te fais pas d'illusions, tu n'as aucune chance de sortir vivant de cette confrontation si tu t'entêtes à vouloir m'affronter. Je n'ai même pas sorti mon sabre, après tout.
Ce qui n'était en réalité pas exceptionnel pour lui. S'il savait manier la lame, il préférait d'ordinaire s'éviter une telle infamie. Alors qu'il constatait que ses mots mettaient en rage l'Arrancar face à lui, Borick leva la main droite pour replacer la mèche qui lui était de nouveau tombée devant les yeux. Il savait évidemment que l'autre n'avait pas le choix non plus. Ils allaient devoir aller au terme de ce combat pour qu'il n'y ait aucune contestation possible quant au statut de Primera Espada. Poussant un soupir faussement contrit, l'Immaculé se remit en position.
- - Je suis consterné par la stupidité de ceux de ton engeance . Enfin qu'importe... Je suppose que périr de la main d'El Emperador est déjà un honneur en soi. Finissons-en.
Ce qui se produisit peu de temps après. Vainqueur de ce tournoi, Borick venait de marquer les esprits en décrochant le titre le plus élevé de l'Espada : la Primera. Tout en mettat en avant la personnalité si particulière qui était la sienne. S'il savait ce poste dangereux - après tout d'autres chercheraient un jour ou l'autre à lui ravir par la force, il le savait - il était surtout ravi d'avoir franchit cette nouvelle étape. Car ce poste était indispensable à la suite de son projet.
Et maintenant ?
Il avait quitté le Palais plus tôt afin de se rendre au coeur du Yermo, là où le rendez-vous avait été prit. Il n'était pas rare pour l'Empereur de se déplacer seul, sans escorte, surtout lorsqu'il avait besoin de rejoindre son subalterne. Ils s'étaient vus à de multiples reprises maintenant. Ce dernier avait infiltré un autre des quatre clans et rendait des comptes à son maître dès que ce dernier le lui demandait. Mais cette fois, le but de ce rendez-vous était tout autre. Alors qu'il arrivait à destination, ayant évidemment veillé à ce que nul ne puisse le suivre, il aperçut la silhouette de celui qui le servait. Ce dernier posa genou au sol à son approche.
- - Mon seigneur, j'ai fait aussi vite que j'ai pu pour vous rejoindre. En quoi puis-je vous aider ?
De la main, le blondinet l'invita à se redresser. Pas le temps à perdre avec des fioritures de ce genre. De nouvelles tâches devaient désormais se lancer. Car le projet de l'Empereur était clair : utiliser les ressources de La Cámara et sa place dans l'Espada afin de comprendre ce qui se tramait au sein du Hueco Mundo. L'accélération de la phase d'Arrancarisation était surprenante et il n'en comprenait pas le but ultime. Et à ce sujet, le véritable maître du Hueco Mundo restait plus que discret. Comprendre pour agir. Voilà pourquoi El Emperador était sorti de l'ombre.
- - Je dois aller sur Terre brièvement. Il nous faut obtenir de meilleures informations et celles du Hueco Mundo sont incomplètes. Je n'ai pour le moment rien appris de probants mais je suis convaincu qu'ils pourront m'être utiles. Pendant mon absence, j'aimerai que tu contactes tes anciens amis. Qu'ils se tiennent prêts à me suivre lorsque le moment sera venu.
La Terre. Et notamment ce groupe d'humains qui interagissaient parfois avec les clans de l'Acuerdo. Certains allaient devoir rendre des comptes et l'Empereur y veillerait personnellement. Il perçut dans le regard d'Alecto de l'appréhension. Mais Borick ne releva pas. Alecto savait ce qui se cachait derrière ces ordres. Ces fameux amis, cette mission, et surtout la raison pour laquelle la Primera avait besoin d'eux. Il savait son maître manipulateur. Et il était au fait d'une partie du projet de ce dernier. Les Arrancars qu'il allait devoir regrouper ne seraient en réalité qu'une diversion à utiliser dans un avenir proche. Un "sacrifice nécessaire" pour reprendre les termes d'El Emperador.
- - Je m'en occupe dès notre entretien terminé, Seigneur.
Inutile de discuter plus, il connaissait la suite des opérations à mener et Borick possédait toutes les cartes en main désormais. Ou presque. Il se redressait déjà tandis que son maître l'observait.
- - Trois jours, pas un de plus. Ensuite tu viendras me retrouver. Vas, maintenant. J'ai besoin de rester seul.
C'est ainsi qu'Alecto quitta les lieux, laissant l'Empereur seul avec ses pensées. Il avait fait de belles avancées depuis qu'il avait quitté les terres désolées du Yermo. Depuis que son masque avait été arraché pour faire apparaître le véritable Empereur qui sommeillait en lui. Ce n'était toutefois pas suffisant. Quelque chose se tramait et il devait savoir quoi, afin que nul danger ne vienne compromettre son ascension.
Et maintenant ? Maintenant il devait se montrer prudent. Son poste était convoité, c'était logique. Il le savait par expérience. Et il était encore trop tôt pour lui, hors de question de libérer cette place. Mais ses espions étaient aussi là pour ça, pour l'aider à avancer. Et si Alecto était la première pierre de son projet, ce dernier ne savait pas qu'une autre ombre, une autre âme damnée de Borick travaillait aussi de son côté pour consolider le pouvoir de leur maître. Une certaine petite chenille qui se rêvait papillon s'était elle-aussi infiltrée parmi un clan ennemi au sien. Laissant traîner ses petites pattes là où il était nécessaire d'être pour rapporter au blondinet ce qu'il entendait.
Maintenant, il allait devoir consolider sa position. Chose la moins évidente mais n'était-il pas l'Empereur de ce monde ?
HRP
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Comment avez-vous connu le forum : Le vent a porté à ma connaissance une étrange histoire. Celle de copains qui ouvraient un forum. Je n'y ai pas cru.
Est-ce un double-compte ? Euh °° J'sais pas. Pourquoi tu veux savoir déjà ? Tu me menaces ? (Oui, de Shinjiro si tu veux savoir)
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DN ANGELE → [iKrad [/i] est [b]Borick[/b]
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Comment avez-vous connu le forum : Le vent a porté à ma connaissance une étrange histoire. Celle de copains qui ouvraient un forum. Je n'y ai pas cru.
Est-ce un double-compte ? Euh °° J'sais pas. Pourquoi tu veux savoir déjà ? Tu me menaces ? (Oui, de Shinjiro si tu veux savoir)