Hyakurai Yasuzake
Données Spirituelles
Grade: Capitaine de la 13e Division
Mar 6 Déc 2022 - 14:26 - L'abus de reiatsu est mauvais pour la population [Quartiers de la 13e - PV Komamura Niji]
- HRP:
22h11, dans un des jardins au cœur de la 13e.
Pour certain la noblesse se trouve dans la pureté du sang, pour d’autres dans la grandeur de l’âme. Pour d’autres encore, dont Yasuzake fait partie, la noblesse n’est pas une question d’attrait ou d’état… Pour lui la noblesse est une question qui ne devrait se poser que de soi à soi, pour évaluer le regard que l’on porte sur ses propres actions.
C’est après tout le shinigami seul qui peut se juger, puisqu’il est l’unique détenteur de son esprit, de ses intentions et de tous les facteurs qui pourraient, d’une manière ou d’une autre, influer sur la finalité de son acte et sa perception.
Et s’il pense à tout cela, si le capitaine questionne ainsi la noblesse de l’être et expose ses théories aux subordonnés présents en cette « Nuit de la Treizième », c’est parce qu’il a oublié un détail d’une simplicité affligeante lorsqu’il a activé son bankai… Il n’a pas choisi de « défunt ». Et pour ceux qui connaissent le fonctionnement des pouvoirs du capitaine, il a ainsi été automatiquement élu comme tel, comme étant celui dont, naturellement l’ébriété monterait.
« Et puis de toute manière, au vu de toutes les méthodes possibles pour faire s’écrouler une famille noble… » Une pause dramatique, un regard à l’assistance. Il est debout sur une table, le regard plein de défi pour qui osera le contredire. « Eh bien, la noblesse ne peut pas se définir dans le sang de… » Il marque une nouvelle pause, observe l’une des nobles faisant partie de sa division. « Rho ça va Hanako, tu ne vas pas recommencer ! »
Ivre ? Non, même si l’on pourrait le croire. Joyeux par contre. Très. Cela fait longtemps qu’il ne s’est plus permis d’écart à proprement à parler et, parfaitement inconscient de ce qu’il se passe – ironique, lorsque l’on sait que son bankai est venu à lui sans qu’il ne le comprenne –, il se laisse surfer sur un sentiment d’allégresse bien réel.
Un sentiment mi-chaud, mi-léger, mi-excitant habite son corps tout entier. Yasuzake ne sait pas encore exactement ce qu’il veut, mais il sait que lorsqu’il saura, il le voudra monstrueusement.
Il inspire, soupire. Jette un nouveau regard aux quelques questions de sa division et on toque à la porte de la taverne.
Il fronce les sourcils. Qui ? Depuis quand ? Pourquoi n’entrent-ils pas directement ? Ils savent pourtant !
Il bondit donc de table en table, remplit les coupelles qu’il croise d’une simple inflexion de Reiatsu. Oui, c’est une belle soirée.
Il arrive devant la porte, inspire profondément. Son haori est impeccable, sa barbe finement ciselée. Il ouvre : « Vous le savez pourtant, inutile de toquer. Il suffit d’entre et de… » ; mais il s’arrête là et laisse son regard glisser le long de la bête devant lui.
Ça n’est pas un membre de sa division, ça.
Il sourit, lève les yeux vers la lune, dont la course est plus qu’entamée. Peut-être est-ce l’heure… Le bruit ? Il soupire de plus belle.
« Je peux vous aider à… A… Vous cherchez quelqu’un ? »
Les komamuras existent, il le sait bien… Mais aucun ne fait partie de sa division. Et qui dit shinigamis venant d’une autre division, dit problèmes éventuels… Pas encore.
Pour certain la noblesse se trouve dans la pureté du sang, pour d’autres dans la grandeur de l’âme. Pour d’autres encore, dont Yasuzake fait partie, la noblesse n’est pas une question d’attrait ou d’état… Pour lui la noblesse est une question qui ne devrait se poser que de soi à soi, pour évaluer le regard que l’on porte sur ses propres actions.
C’est après tout le shinigami seul qui peut se juger, puisqu’il est l’unique détenteur de son esprit, de ses intentions et de tous les facteurs qui pourraient, d’une manière ou d’une autre, influer sur la finalité de son acte et sa perception.
Et s’il pense à tout cela, si le capitaine questionne ainsi la noblesse de l’être et expose ses théories aux subordonnés présents en cette « Nuit de la Treizième », c’est parce qu’il a oublié un détail d’une simplicité affligeante lorsqu’il a activé son bankai… Il n’a pas choisi de « défunt ». Et pour ceux qui connaissent le fonctionnement des pouvoirs du capitaine, il a ainsi été automatiquement élu comme tel, comme étant celui dont, naturellement l’ébriété monterait.
« Et puis de toute manière, au vu de toutes les méthodes possibles pour faire s’écrouler une famille noble… » Une pause dramatique, un regard à l’assistance. Il est debout sur une table, le regard plein de défi pour qui osera le contredire. « Eh bien, la noblesse ne peut pas se définir dans le sang de… » Il marque une nouvelle pause, observe l’une des nobles faisant partie de sa division. « Rho ça va Hanako, tu ne vas pas recommencer ! »
Ivre ? Non, même si l’on pourrait le croire. Joyeux par contre. Très. Cela fait longtemps qu’il ne s’est plus permis d’écart à proprement à parler et, parfaitement inconscient de ce qu’il se passe – ironique, lorsque l’on sait que son bankai est venu à lui sans qu’il ne le comprenne –, il se laisse surfer sur un sentiment d’allégresse bien réel.
Un sentiment mi-chaud, mi-léger, mi-excitant habite son corps tout entier. Yasuzake ne sait pas encore exactement ce qu’il veut, mais il sait que lorsqu’il saura, il le voudra monstrueusement.
Il inspire, soupire. Jette un nouveau regard aux quelques questions de sa division et on toque à la porte de la taverne.
Il fronce les sourcils. Qui ? Depuis quand ? Pourquoi n’entrent-ils pas directement ? Ils savent pourtant !
Il bondit donc de table en table, remplit les coupelles qu’il croise d’une simple inflexion de Reiatsu. Oui, c’est une belle soirée.
Il arrive devant la porte, inspire profondément. Son haori est impeccable, sa barbe finement ciselée. Il ouvre : « Vous le savez pourtant, inutile de toquer. Il suffit d’entre et de… » ; mais il s’arrête là et laisse son regard glisser le long de la bête devant lui.
Ça n’est pas un membre de sa division, ça.
Il sourit, lève les yeux vers la lune, dont la course est plus qu’entamée. Peut-être est-ce l’heure… Le bruit ? Il soupire de plus belle.
« Je peux vous aider à… A… Vous cherchez quelqu’un ? »
Les komamuras existent, il le sait bien… Mais aucun ne fait partie de sa division. Et qui dit shinigamis venant d’une autre division, dit problèmes éventuels… Pas encore.