Kyōakusei Kenshirō
Données Spirituelles
Grade: Capitaine de la Gobantai
Dim 11 Juin 2023 - 9:19 - Return of the King
Est-ce que cette décision étonnerait ? Pas lui en tout cas. Dès lors qu’il avait intégré la Division en tant que troisième siège, sans qu’il n’y ait le moindre supérieur pour lui constituer une hiérarchie, et ce alors même qu’il était su qu’au sortir de l’Académie il était déjà capable de faire usage de son Bankai – l’on n’utilisera pas le terme de « maîtrise » cependant, tant cela peut prendre du temps pour parvenir à en utiliser le plein potentiel – Kenshirô s’était fait une conviction qu’il n’avait plus qu’à gravir les échelons. Qu’il était en phase de test, d’observation. Que l’on chercherait à juger de ses capacités à occuper son poste sérieusement, et ce même s’il avait un caractère et un comportement… parfois peu réglementaire, il fallait le reconnaître.
Un peu de mal à parfaitement trouver sa place à l’origine, il avait pu s’afficher comme un candidat sérieux dès lors que la situation l’avait exigé. Les troubles aux confins du Rukongai avaient demandé plusieurs mois de travail, d’infiltration, de commandement. Et malgré la participation fugace de deux capitaines durant ce travail de longue haleine, il s’était si nettement montré comme le plus efficace et crédible qu’il avait reçu la pleine direction des opérations. Et c’était ainsi, donc, qu’il avait gagné son Haori. L’on venait de lui confier à l’instant, alors qu’il avait dû montrer devant le conseil militaire son Bankai – passage obligé, et clairement il ne se ferait jamais prier pour ça – ainsi que se soumettre à un… entretien (et ça déjà, c’était moins son truc, même s’il adorait causer… trop sans doute) !
Ce serait donc la première fois que les membres de sa division le verrait ainsi. Aussi de cette manière qu’ils l’apprendraient, causant de la surprise ou non. Globalement, son accoutrement était resté identique. Son Shihakushō sans manche – coupe nette et propre – et doté d’une capuche qu’il ne portait pour ainsi dire jamais – juste pour le style – ainsi que son katana droit dépourvu de garde à son flanc gauche. S’y ajoutaient donc désormais un bracelet porté à la cheville droite, offert par Mizuki, et bien sûr ce Haori frappé du symbole de sa Division, et dont il avait arraché les manches vite fait, bien fait. Et clairement… il roulait des mécaniques en croisant les membres de la Gobantai tout en rejoignant son bureau. Adressait bien un regard marqué à chacun d’entre eux, vérifiant qu’ils saluaient bien « comme il faut ». Si c’était le cas, il les saluait en retour. Sinon, il se marrait, et gardait bien en mémoire la tronche de ceux qui auraient du rab à l’entraînement ce soir.
Était-il fermé à ce que l’on vienne lui adresser quelques mots ? Pas du tout, que ce soit durant son passage au sein du quartier général ou après être arrivé à son bureau. De même, s’il voyait quelque chose qui sortait de l’ordinaire, il s’en enquerrait forcément.
Un peu de mal à parfaitement trouver sa place à l’origine, il avait pu s’afficher comme un candidat sérieux dès lors que la situation l’avait exigé. Les troubles aux confins du Rukongai avaient demandé plusieurs mois de travail, d’infiltration, de commandement. Et malgré la participation fugace de deux capitaines durant ce travail de longue haleine, il s’était si nettement montré comme le plus efficace et crédible qu’il avait reçu la pleine direction des opérations. Et c’était ainsi, donc, qu’il avait gagné son Haori. L’on venait de lui confier à l’instant, alors qu’il avait dû montrer devant le conseil militaire son Bankai – passage obligé, et clairement il ne se ferait jamais prier pour ça – ainsi que se soumettre à un… entretien (et ça déjà, c’était moins son truc, même s’il adorait causer… trop sans doute) !
Ce serait donc la première fois que les membres de sa division le verrait ainsi. Aussi de cette manière qu’ils l’apprendraient, causant de la surprise ou non. Globalement, son accoutrement était resté identique. Son Shihakushō sans manche – coupe nette et propre – et doté d’une capuche qu’il ne portait pour ainsi dire jamais – juste pour le style – ainsi que son katana droit dépourvu de garde à son flanc gauche. S’y ajoutaient donc désormais un bracelet porté à la cheville droite, offert par Mizuki, et bien sûr ce Haori frappé du symbole de sa Division, et dont il avait arraché les manches vite fait, bien fait. Et clairement… il roulait des mécaniques en croisant les membres de la Gobantai tout en rejoignant son bureau. Adressait bien un regard marqué à chacun d’entre eux, vérifiant qu’ils saluaient bien « comme il faut ». Si c’était le cas, il les saluait en retour. Sinon, il se marrait, et gardait bien en mémoire la tronche de ceux qui auraient du rab à l’entraînement ce soir.
Était-il fermé à ce que l’on vienne lui adresser quelques mots ? Pas du tout, que ce soit durant son passage au sein du quartier général ou après être arrivé à son bureau. De même, s’il voyait quelque chose qui sortait de l’ordinaire, il s’en enquerrait forcément.