Shihōin Mei
Données Spirituelles
Grade: Vice-Capitaine de la 2ème division
Jeu 28 Sep 2023 - 22:58 - still a long way to go (mei)
Shihōin Mei
Race Shinigami
Âge Une centaine d'années
Grade Vice-Capitaine de la seconde division
Pouvoir
Mamorinuku, Makoto.
Ton Zanpakutō prend la forme d’un large bouclier capable d'absorber l’énergie spirituelle, pour ainsi amortir les attaques mais aussi affaiblir les ennemis. Il peut aussi renvoyer des vagues d’énergie spirituelle autour de lui pour repousser les adversaires.
Ton Zanpakutō prend la forme d’un large bouclier capable d'absorber l’énergie spirituelle, pour ainsi amortir les attaques mais aussi affaiblir les ennemis. Il peut aussi renvoyer des vagues d’énergie spirituelle autour de lui pour repousser les adversaires.
Description
Intègre et juste, tu es de ces personnes qui aiment les règles et qui aiment les suivre, tout comme tu aimes qu’elles soient appliquées. La justice est quelque chose à laquelle tu tiens, dans l’espoir peut-être qu’un jour tous puissent subir le même traitement ? C’est un peu l’idée, bien que tu entends l’hypocrisie de ce beau discours tenu par une shinigami née parmi la noblesse, parmi ceux qui, généralement, s’en sortent mieux que les autres, que ce soit grâce aux contacts ou simplement l’influence de leur nom. Cependant, tu t’efforces à ce que ton nom n’influence en rien ta carrière, ni tes réussites, bien que tu sais aussi n’avoir que très peu de contrôle à ce niveau.
De nature curieuse, tu es de ces personnes rapidement intéressées par les autres, par tout ce qui t’entoure. Bonne vivante, qu’on pourrait dire, avec le regard rapidement émerveillé et l’esprit bousculé de toutes sortes de questions qui ne franchissent pas toujours le seuil de tes lèvres. Chaleureusement, même, que diraient certains, tu n’as généralement aucun mal à te lier à d’autres, cherchant même souvent le contact humain, de ces interactions souvent plaisantes qui te permettent d’en apprendre toujours un peu plus sur ces gens qui t’entourent.
De part cette droiture qu’on te reconnaît sans mal, tu peux aussi te montrer impitoyable dans le cadre de tes fonctions. Tu n’acceptes que très difficilement les pas de travers, les erreurs, et ce, qu’elles viennent de toi mais aussi des autres. Surtout lorsque ces erreurs s’avèrent problématiques, criminelles, même, que tu dirais, ou encore lorsque des informations échappées par inadvertance tombent entre les mauvaises mains.
Tu es donc assez agréable, en dehors de la seconde division.
Un peu moins lorsque tu dois répondre de tes responsabilités.
Rancunière, tu crois peu à la seconde chance, bien que tu peux peut-être être convaincue de l’accepter, avec de bonnes raisons. Enfin, lorsque le tort ne t’est pas causé à toi personnellement, autrement tu penses qu’il est pratiquement impossible de s’attirer ta sympathie, le pardon n’étant pas quelque chose que tu offres. Et pourtant, tu sais l’erreur possible, souvent valide, même, dépendamment de l’intensité de cette dernière, seulement… Tu t’y accroches et ne vois souvent l’individu qu’au travers de cette erreur. C’est peut-être pour cette raison que tu ne t’es toujours pas pardonnée ton erreur d’il y a de ça une vingtaine d’années.
Ou pour cette raison que tu as été soulagée lorsque tu as entendu parler de la disparition de la précédente vice-capitaine de la seconde division.
Celle que tu as remplacée.
Celle que tu penses bien pouvoir remplacer, étant toi-même quelqu’un d’assidue, de disciplinée et de responsable. Plus souvent dans l’action, tu laisses rarement les choses traîner et tu essaies de faire suivre les gestes aux paroles dans la grande majorité des cas. Tu aimes être en contrôle, finalement, ce qui explique peut-être aussi ton incapacité à déléguer, et ce, même si tu fais confiance à te subordonner.
À quelque part, tu penses que tout sera mieux fait si tu t’en occupes seule.
Fière, tu fais tout de même l’effort de ne pas être arrogante, te tenant simplement la tête haute, avec cette détermination sans faille éclairant tes prunelles verdoyantes.
De nature curieuse, tu es de ces personnes rapidement intéressées par les autres, par tout ce qui t’entoure. Bonne vivante, qu’on pourrait dire, avec le regard rapidement émerveillé et l’esprit bousculé de toutes sortes de questions qui ne franchissent pas toujours le seuil de tes lèvres. Chaleureusement, même, que diraient certains, tu n’as généralement aucun mal à te lier à d’autres, cherchant même souvent le contact humain, de ces interactions souvent plaisantes qui te permettent d’en apprendre toujours un peu plus sur ces gens qui t’entourent.
De part cette droiture qu’on te reconnaît sans mal, tu peux aussi te montrer impitoyable dans le cadre de tes fonctions. Tu n’acceptes que très difficilement les pas de travers, les erreurs, et ce, qu’elles viennent de toi mais aussi des autres. Surtout lorsque ces erreurs s’avèrent problématiques, criminelles, même, que tu dirais, ou encore lorsque des informations échappées par inadvertance tombent entre les mauvaises mains.
Tu es donc assez agréable, en dehors de la seconde division.
Un peu moins lorsque tu dois répondre de tes responsabilités.
Rancunière, tu crois peu à la seconde chance, bien que tu peux peut-être être convaincue de l’accepter, avec de bonnes raisons. Enfin, lorsque le tort ne t’est pas causé à toi personnellement, autrement tu penses qu’il est pratiquement impossible de s’attirer ta sympathie, le pardon n’étant pas quelque chose que tu offres. Et pourtant, tu sais l’erreur possible, souvent valide, même, dépendamment de l’intensité de cette dernière, seulement… Tu t’y accroches et ne vois souvent l’individu qu’au travers de cette erreur. C’est peut-être pour cette raison que tu ne t’es toujours pas pardonnée ton erreur d’il y a de ça une vingtaine d’années.
Ou pour cette raison que tu as été soulagée lorsque tu as entendu parler de la disparition de la précédente vice-capitaine de la seconde division.
Celle que tu as remplacée.
Celle que tu penses bien pouvoir remplacer, étant toi-même quelqu’un d’assidue, de disciplinée et de responsable. Plus souvent dans l’action, tu laisses rarement les choses traîner et tu essaies de faire suivre les gestes aux paroles dans la grande majorité des cas. Tu aimes être en contrôle, finalement, ce qui explique peut-être aussi ton incapacité à déléguer, et ce, même si tu fais confiance à te subordonner.
À quelque part, tu penses que tout sera mieux fait si tu t’en occupes seule.
Fière, tu fais tout de même l’effort de ne pas être arrogante, te tenant simplement la tête haute, avec cette détermination sans faille éclairant tes prunelles verdoyantes.
Histoire
Née noble vient avec son lot de responsabilités, un poids qu’il peut ne pas être aisé à porter, et ce, même pour ceux nés au sein des branches secondaires. Peut-être même plus pour eux ? Difficile à dire. Tu es née Shihōin, en portant sur tes frêles épaules les ambitions de tes parents, à savoir de te faire briller plus encore que les héritiers de la branche principale, comme si ces distinctions familiales avaient de réelles importances pour toi. La vérité est que ça n’en a jamais vraiment eu, ces compétitions desquelles tu ne te souciais pas, que ce soit à l’époque ou encore moins aujourd’hui. Car si être née Shihōin t’a forcé à une certaine éducation, à certains entraînements précis, tu n’as jamais manqué de tracer ta propre route, que ça leur plaise ou non.
À commencer par l’apprentissage du kidō lors de ton passage à l’académie, là où tes parents auraient bien voulu te voir avec un style de combat plus physique. Plus à l’image de grands noms Shihōin ? Sans doute, oui, du peu que tu en sais et de ce que tu as appris lors de ces longues heures où l’on t’a enseigné l’histoire de ta famille. Et si devenir une shinigami n’a jamais vraiment été un objectif personnel, plutôt une façon de suivre le mouvement et faire un peu comme tout le monde de ton entourage, il s’agit-là d’une route que tu ne regrettes pas avoir pris, te démarquant très vite parmi ceux de ton année comme une excellente élève. Vive d’esprit et intéressée, s’il ne faisait aucun doute que certains sujets te passionnaient plus que d’autres, tu n’as jamais lésiné sur l’entraînement ni sur les efforts pour être certaine de réussir partout.
C’est donc sans surprise que tu as terminé l’académie avec d’excellents résultats et que tu t’es rapidement retrouvée au sein d’une division. D’un côté, tu aurais peut-être aimé rejoindre le Kidōshū pour parfaire ton apprentissage. D’un autre, ta famille aurait vraiment aimé te voir intégrer la seconde division pour que tu puisses y gravir les échelons et ainsi faire honneur à ton nom. Au final, c’est ton intérêt pour le monde des humains, pour tout ce qui pouvait se passer au-delà de la Soul Society, qui t’a poussé dans les rangs de la treizième division. D’abord petit siège au sein de la division, tu as lentement mais sûrement fait tes preuves, au travers nombreux voyages sur terre et de missions menées à bien.
Et malgré la déception que tu pouvais entendre de la part de tes parents, tu penses ne pas avoir pu être à la meilleure place. Tu aimais ce que tu faisais, partageant ton temps entre tes responsabilités et tes entraînements, continuant d’apprendre avec de nombreux bouquins pour ne jamais t’arrêter de t’améliorer.
L’année 2003 a toutefois marqué beaucoup de changements pour toi.
La Guerre Sanglante Millénaire s’est déroulée alors que tu n’étais pas au sein de la Soul Society, en mission sur terre alors que les tiens se faisaient envahir. C’est un sentiment de culpabilité dont tu as eu du mal à te défaire, rentrant une fois qu’il fut trop tard et confrontée à la perte de gens t’étant chers, entre membres de ta famille ou encore amis qui se sont battus pour défendre la Soul Society. Suivant ces événements, et après quelques semaines sans trop savoir quoi faire, le choc suffisant à te mettre hors d’état d’agir ces quelques temps, tu as finalement opter pour un changement de division.
L’envie de protéger les tiens.
De ne plus être aussi loin.
Tu n’as eu aucun mal à rejoindre la seconde division, sans trop savoir si ce sont tes compétences, tes résultats ou simplement ton nom qui t’ont permis d’en intégrer les rangs. Haut siège pendant plusieurs années, tu es montée jusqu’au troisième suivant une nouvelle bataille lourde de conséquences pour la Soul Society, à savoir celle contre Satsubatsu Kyōaku. Et si la perte d’être cher a été un peu plus facile à assumer cette fois-ci, entre l’âge et l’expérience, tu as réalisé qu’il te faudrait faire plus encore si un jour tu espères pouvoir te battre sur un pied d’égalité avec de ces menaces qui ont été en mesure de vous arracher vos capitaines. Qui t’ont arraché des proches, surtout.
Partageant depuis déjà quelques années tes responsabilités entre celle de la division et l’Onmitsukidō, ton grade de troisième siège t’ayant amené à travailler avec les forces secrètes de la Soul Society, tu t’es retrouvée avec plus de responsabilités encore dernièrement lorsque tu as été promu au grade de vice-capitaine. Une promotion que tu espères avoir mérité, malgré le doute qui persiste dans ton esprit.
Surtout que tu as l’impression qu’il s’agit-là de la meilleure façon de pouvoir protéger les tiens, en ayant les yeux partout. Que ce soit rivé vers de potentiels ennemis extérieurs…
Ou ceux souhaitant vous saboter de l’intérieur.
L’histoire à prouver que vous n’y étiez pas immunisés.
À commencer par l’apprentissage du kidō lors de ton passage à l’académie, là où tes parents auraient bien voulu te voir avec un style de combat plus physique. Plus à l’image de grands noms Shihōin ? Sans doute, oui, du peu que tu en sais et de ce que tu as appris lors de ces longues heures où l’on t’a enseigné l’histoire de ta famille. Et si devenir une shinigami n’a jamais vraiment été un objectif personnel, plutôt une façon de suivre le mouvement et faire un peu comme tout le monde de ton entourage, il s’agit-là d’une route que tu ne regrettes pas avoir pris, te démarquant très vite parmi ceux de ton année comme une excellente élève. Vive d’esprit et intéressée, s’il ne faisait aucun doute que certains sujets te passionnaient plus que d’autres, tu n’as jamais lésiné sur l’entraînement ni sur les efforts pour être certaine de réussir partout.
C’est donc sans surprise que tu as terminé l’académie avec d’excellents résultats et que tu t’es rapidement retrouvée au sein d’une division. D’un côté, tu aurais peut-être aimé rejoindre le Kidōshū pour parfaire ton apprentissage. D’un autre, ta famille aurait vraiment aimé te voir intégrer la seconde division pour que tu puisses y gravir les échelons et ainsi faire honneur à ton nom. Au final, c’est ton intérêt pour le monde des humains, pour tout ce qui pouvait se passer au-delà de la Soul Society, qui t’a poussé dans les rangs de la treizième division. D’abord petit siège au sein de la division, tu as lentement mais sûrement fait tes preuves, au travers nombreux voyages sur terre et de missions menées à bien.
Et malgré la déception que tu pouvais entendre de la part de tes parents, tu penses ne pas avoir pu être à la meilleure place. Tu aimais ce que tu faisais, partageant ton temps entre tes responsabilités et tes entraînements, continuant d’apprendre avec de nombreux bouquins pour ne jamais t’arrêter de t’améliorer.
L’année 2003 a toutefois marqué beaucoup de changements pour toi.
La Guerre Sanglante Millénaire s’est déroulée alors que tu n’étais pas au sein de la Soul Society, en mission sur terre alors que les tiens se faisaient envahir. C’est un sentiment de culpabilité dont tu as eu du mal à te défaire, rentrant une fois qu’il fut trop tard et confrontée à la perte de gens t’étant chers, entre membres de ta famille ou encore amis qui se sont battus pour défendre la Soul Society. Suivant ces événements, et après quelques semaines sans trop savoir quoi faire, le choc suffisant à te mettre hors d’état d’agir ces quelques temps, tu as finalement opter pour un changement de division.
L’envie de protéger les tiens.
De ne plus être aussi loin.
Tu n’as eu aucun mal à rejoindre la seconde division, sans trop savoir si ce sont tes compétences, tes résultats ou simplement ton nom qui t’ont permis d’en intégrer les rangs. Haut siège pendant plusieurs années, tu es montée jusqu’au troisième suivant une nouvelle bataille lourde de conséquences pour la Soul Society, à savoir celle contre Satsubatsu Kyōaku. Et si la perte d’être cher a été un peu plus facile à assumer cette fois-ci, entre l’âge et l’expérience, tu as réalisé qu’il te faudrait faire plus encore si un jour tu espères pouvoir te battre sur un pied d’égalité avec de ces menaces qui ont été en mesure de vous arracher vos capitaines. Qui t’ont arraché des proches, surtout.
Partageant depuis déjà quelques années tes responsabilités entre celle de la division et l’Onmitsukidō, ton grade de troisième siège t’ayant amené à travailler avec les forces secrètes de la Soul Society, tu t’es retrouvée avec plus de responsabilités encore dernièrement lorsque tu as été promu au grade de vice-capitaine. Une promotion que tu espères avoir mérité, malgré le doute qui persiste dans ton esprit.
Surtout que tu as l’impression qu’il s’agit-là de la meilleure façon de pouvoir protéger les tiens, en ayant les yeux partout. Que ce soit rivé vers de potentiels ennemis extérieurs…
Ou ceux souhaitant vous saboter de l’intérieur.
L’histoire à prouver que vous n’y étiez pas immunisés.
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