Groupe 3

Elle venait d’en poser une bonne, de question, la gonzesse binoclarde. Des lunettes qui m’ont d’ailleurs d’être sur sa tronche plus pour se donner un style que véritablement parce qu’elle y voit que dalle. Y’en a ils aiment attirer l’attention, que tous les regards se braquent sur leur petite personne. M’a l’air d’être ce genre. Et si je prends pas la peine de lui répondre, c’est parce que mon attention se focalise sur l’enfoiré qui s’est permis de nous amener ici. Un connard dont la tronche est dissimulée sous un masque étrange, encore un avec un complexe de supériorité et qui se croit en droit de jouer avec les gens comme s’ils étaient des pantins. Le genre de gars qu’on adore.
Je pousse un soupir ennuyé dès qu’il commence à l’ouvrir, le Grand Festival Spirituel de la Connaissance Interdite, je vois absolument pas ce que ça veut dire, mais ça sonne intello et du coup ça me gonfle d’avance. La Connaissance Interdite, si elle est véritablement interdite, venait pas me casser les burnes alors. J’ai pas envie d’y toucher, j’ai autre chose à foutre. J’étais d’ailleurs en train de faire quelque chose de plus intéressant avant d’être téléporté ici. Tout ça me gonfle.

L’inconnu est armé, ce qui pousse quand même à le respecter un minimum. Entre ça et son pouvoir qui a l’air assez costaud pour téléporter un tas de gens dans sa zone, y’a quelques indices qu’il faut pas le prendre à la légère.
Des groupes de personnes, quatre à chaque fois et ce bordel lumineux nous entourant tous. C’est forcément pas non plus le hasard, comme ça doit pas l’être que ce soit impossible de distinguer autre chose que des silhouettes sombres. Mise à part les trois gusses à proximité de moi, impossible de distinguer les tronches des autres invités. Mes sourcils se froncent encore un peu plus, tandis que j’écoute, immobile et silencieux, mains dans les poches, la suite des explications.

Le Héraut des mes ? J’aime pas quand ils ont des noms merdiques comme ça, ça pue chaque fois les emmerdes. Rivaliser dans des épreuves amicales… amicales hein ? Aucune intention de nous buter ou de nous torturer ? Me paraît de plus en plus louche ce type, et son Grand Festival encore plus. Jamais entendu parler de cette merde avant d’ailleurs, probablement que c’est pas un truc que les humains normaux connaissent. Encore un truc mystique.
La quête de la Connaissance Interdite, il recommence avec ça… Il est pas foutu de la faire tout seul sa quête ou quoi ? L’idée c’est de trouver une vieille bibliothèque ancestrale, y’aurait des indices cachés dans le coin. J’ai un temps de latence, je cogite sur un truc qu’il a dit tout à l’heure. Il nous as personnellement trié sur le volet et sélectionné pour ça… et il a pensé que j’étais le bon candidat pour une mission de ce genre ? Si c’était ma cervelle mon atout principal, je serai pas un Sword, mais un gars des Cups putain, il est complètement éclaté son choix à ce gros con. Ah, ça m’emmerde bordel de merde. Et son jeu, j’ai aucune envie d’y jouer moi.

Mon avis que je vais plutôt aller lui casser la bouche à ce merdeux tout pâle.
Parfait timing quand tu nous tiens, c’est aussi à ce moment qu’il décide de nous faire la démonstration pour mettre tout le monde d’accord. Et je la sens passer, la démo’. Des espèces de flammes qui sortent du fil qui nous entoure, ce qui donne aussi la réponse au pourquoi de cette merde était là. Il a tout prévu l’autre enfoiré. Les Flammes de la Discorde hein…
Aucune solution de sortie à part terminer cette putain de quête à la con, on peut même pas péter quelques dents au passage. Non parce que dans le groupe dans lequel je me retrouve, y’a deux trois mandales qui auraient facilement pu partir autrement. Rien que la dégaine de l’autre pimbêche et sa façon de péter plus haut que son cul aurait été motif d’une bonne claque dans la gueule. — Tant que tu l’ouvres pas trop, ça devrait aller ouais. Je lui lâche un regard mauvais, si je suis sage hein ? Et si je le suis pas, il se passe quoi ? Je sais pas pour qui elle se prend, mais j’ai aucune intention de lui obéir comme un gentil clébard. Je suis un Sword, pas son pote. Sans ces Flammes de la Discorde, y’aurait eu aucun deal. Et aussi…

Je me tourne vers l’autre gonzesse de la bande, la rouquine. — Toi, tu dégages quelque chose que j’aime pas. J’espère pour toi que tu vas te tenir tranquille. Et c’est pas simplement la couleur de sa peau ou celle de sa tignasse, y’a quelque chose en elle qui m’inspire rien de bon.

Elle aime mon costume ? Super, je suis vraiment content de le savoir, mais j’en ai un peu complètement rien à branler en fait. Bon cela dit, sa réponse me surprend assez pour me faire perdre l’envie de pousser plus loin, m’a pas l’air bien dangereuse là comme ça, même si avec ce genre d’animal on ne sait jamais. Certains sont doués pour endormir ta méfiance et une fois que tes défenses sont abaissées, ils viennent te bouffer. Bon là, elle a bien l’intention de bouffer la rouquine du désert, mais plus ce qui se trouve sur les stands du festival. Ça donne une idée de l’intérêt qu’elle porte à la situation et son degré d’implication, il va pas trop falloir compter sur elle j’ai l’impression.
Le type avec la tronche tailladée sévère, j’ai pas remarqué tout de suite mais c’est un putain d’aveugle, pour chercher des indices ou lire des informations c’est pas vraiment vers lui qu’on va se tourner. Je me demande d’ailleurs comment il peut se battre avec son épée s’il y voit rien. L’idée de le provoquer pour me faire une idée serait presque tentante si y’avait pas ces liens à la con.

La seconde nana, celle qui a l’air d’adorer mener la danse, s’implique beaucoup plus. Peut-être un peu trop même, ou c’est juste qu’elle aime beaucoup s’entendre parler. J’avoue que je dois m’accrocher pour suivre son récap’ jusqu’au bout, chez les Swords c’est jamais aussi long, et encore moins aussi barbant. En plus, si je comprends la langue qu’elle me cause, y’a des mots qui me sautent à la fiole sans que j’en capte le sens. Elle parle de Kidō, j’imagine que c’est pas des cadeaux de Wish. La Soul Society ça va, je maîtrise un minimum, c’est leur monde à eux les cowboys japonais. M’a l’air de chercher une école pour des techniques, je saisis pas tellement, moi l’école ça a pas duré bien longtemps dès lors que mes potes se sont fait bouffer par un Hollow.
L’autre est un Vice-Capitaine de ce que je capte, Kyoya m’avait déjà fait un topo’ sur la hiérarchie chez ces trous de balles. Vice-Capitaine, c’est un peu l’équivalent de mon grade à l’Ultima. L’autre je connais pas son grade, mais elle doit être l’équivalent d’un Two ou Three chez nous.

M’attendant pas à ce qu’elle me cause, vu que deux minutes avant elle m’avait totalement ignoré comme la dernière des merdes, ça me surprend quand elle se tourne vers moi pour avoir mon avis. Si j’ai une idée ? Alors quoi, son petit cerveau cogite pas assez pour résoudre l’énigme alors elle demande déjà de l’aide ? C’est bien la peine de ventiler autant d’air. — Va pour explorer. Inutile de pourrir ici de toute façon. Je vais en profiter pour poser quelques questions. Si les indices sont cachés dans le festival, y’a forcément quelqu’un qui a vu quelque chose ou entendu parler d’un truc qui devrait pouvoir nous aider. Et si c’est pas le cas, bah j’en sais rien moi.
Comme c’est plus ou moins l’idée approuvée, je me mets en marche, mains dans les poches. Passe devant le stand de bouffe sur lequel s’est arrêté la rousse, visiblement le fil qui nous lie est assez long pour nous permettre de nous éloigner assez sans être trop restreint. On pourra pas mettre des kilomètres de distance entre nous, mais ça m’a l’air assez long pour que je l’étire jusqu’au stand sur lequel j’ai jeté mon dévolu.

Des espèces de petits flippers démodés, leur ancêtre peut-être ? J'en sais trop rien, mais ça me parle le flipper, je suis pas trop merdique là-dessus. — Bonsoir, c’est combien pour jouer ? En posant la question, je me rends compte que j’ai aucune idée de comment ça fonctionne ici.

Reijiro se faisant subtilement ignorer par Yoru, se contente d'écouter cette dernière parler. Il est d'accord pour explorer le festival et se renseigner, et se dirige vers un stand de Rakki Boru (je sais pas si on peut imposer un stand), situé pas loin du stand devant lequel patiente Hors et demande combien ça coûte pour faire une partie.

— Allez, ça me va. La réponse du type semble me satisfaire, le prix me paraît pas choquant, ni même dérangeant pour un petit jeu qui paie pas de mine comme celui-là. En tout cas, c’est tellement anecdotique que ça devient de l’histoire ancienne à partir du moment même où ma main droite se pose sur l’espèce de petite manette. C’est de là que tout part, c’est avec ce truc que je vais pouvoir envoyer les boules blanches et tenter de former une figure. C’est plus exactement pareil que ce que j’avais imaginé, mais eh, je me dis que je peux me démerder quand même. Comme je suis joueur, je vais chercher à reproduire la figure qui donne le plus de points, à savoir un gros Z au milieu du plateau.
— Mais bordel ! Bon ok, c’est pas aussi évident que je l’aurais pensé en fait cette merde. Ces foutus clous font bien plus chier que je me l’étais pensé, et ‘faut croire que je suis moins habile que ce que je pensais. Forcément que je me serais mieux débrouillé sur un jeu de force ou une connerie du genre. Surtout que je suis pas totalement concentré sur mon jeu. Pendant que j’envoie des boules, j’en profite pour discuter un peu avec le type qui gère le stand. — Vous le connaissez, vous, ce type qui gère le festival ? Le Héraut des Ames ?

Nouvelle balle envoyée, elle tape un premier clou avant de dévier de sa trajectoire initiale et de terminer dans un trou qui m’aidera pas à compléter la forme que je vise. Je grogne, serre les dents. C’est un poil trop mal parti là, cette histoire. — Il nous a parlé d’indices à trouver dans le coin, vous auriez pas un petit quelque chose pour m’aiguiller par hasard ? Sur ces mots, je propulse une nouvelle balle blanche qui s’en va se loger directement au bon endroit. Je serre les poings d’enthousiasme cette fois, c’est peut-être juste qu’un jeu à la con prétexte pour glaner des infos, mais j’ai toujours eu l’esprit compétiteur. Et je suis à une balle de reproduire le Z que je visais à la base.
Il m’en reste encore trois, les deux premières que je balance me font plus enrager qu’autre chose, les clous les repoussant hors du schéma. La dernière sera décisive, digne d’un suspense de film d’action, j’envoie la balle qui semble partir au ralenti, heurte un premier clou mais ça la pousse vers le bon trou. J’ai les yeux qui s'ouvrent en grand, la bouche qui commence à l’imiter, la balle qui descend vers le dernier trou à combler. Je suis déjà en train de me dire que j’ai déchiré le jeu, que je suis un putain de génie et que j’ai pas besoin d’une épée magique pour tout fracasser, y’a mon cri victorieux qui prend forme au fond de la gorge pour éclater au moment fatidique.

Tout ça pour que cette salope de balle passe juste à côté du trou, pour finir dans un autre qui me fait perdre la partie. — MAIS QUOI ?! Je gueule quand même au final, mais pas pour la même raison. J’ai comme une furieuse envie de fracasser le plateau avec mon poing, mais c’est à ce même moment que les liens se font sentir. Pas aussi douloureux que tout à l’heure, mais ça pique assez pour me calmer et me rappeler que j’ai pas juste le droit de péter un plomb ici, la violence c’est interdit. Et comme je redescend aussi vite que je suis monté, je m’excuse auprès du gérant, même si lui doit être content que je me sois planté.

Reijiro tente sa chance au jeu et perd. Il en profite pour poser des questions au type qui gère le stand.

— Non laisse tomber, je me casse. Il m’a gonflé son jeu à la con, pas question je me fasse chier à retenter ma chance. Je pourrais jouer toute la journée si le jeu était pas aussi merdique, ici tout ce que je vais gagner c’est de fracasser son stand de rage. En plus il m’a l’air complètement con ce type, il a répondu totalement à côté de la plaque à mes questions, ou alors c’est juste qu’il se fout de ma tronche. Dans les deux cas, lui aussi il m’a gonflé ce trou de balle. Je préfère me casser et rejoindre les autres qui font mumuse avec des masques. Putain de gosses, on est là pour trouver une bibliothèque, ils perdent leur temps à se déguiser.
— T’as l’air horrible, ce qui te change pas de sans le masque si tu veux mon avis. 'Semblerait que je sois arrivé juste à temps pour assister à la grognasse qui cherche encore une fois à attirer l’attention sur elle. Qu’est-ce qu’on s’en tamponne de la dégaine qu’elle a avec ce foutu masque, sérieux ? Celui de l’aveugle est probablement le plus dégueulasse de tous, ce qui m’arrache un sourire moqueur, le pauvre gars a pas vraiment besoin de se soucier de la tronche qui se tape de toute façon. — Le dernier est pour moi, j’imagine ?

J’imagine bien, le commerçant me tend le masque. J’étais parti pour l’envoyer chier, mais je dois avouer que le style du masque m’a fait changer d’avis. Pas moche, y’a un truc que j’aime bien. — Merci. Je le prends d’une main et hésite quelques secondes avant de le mettre. Est-ce que j’ai vraiment envie de jouer à ce jeu ? Le masque est cool, mais si c’est pour être associé aux autres, moyen quoi.
Oh et puis merde, juste pour essayer au moins. Le masque placé sur ma tronche, je prends une voix plus aiguë, y ajoute un ton un peu pétasse et lâche ma meilleure imitation. — Alors, de quoi j’ai l’air ? Je peux pas m’empêcher de rire, me souciant pas trop de savoir si Madame a le sens de l’humour ou pas. Rigoler lui fera pas de mal, ça détend les miches.
— Sinon, avez appris quelque chose d’intéressant ici ? Moi pas, le type était totalement à l’ouest. Quand je lui ai demandé de m’en dire un peu plus sur le Héraut, ce con m’a répondu que c’était une région… Pas sûr qu’ils soient vraiment utiles à autre chose que de nous faire jouer et nous revendre leurs trucs. Je crois que ça peut se sentir que cette histoire me casse déjà bien les couilles.

— On se tire ? Y’a rien qui m’a l’air de ressembler à une bibliothèque ou un foutu livre ici.

Reijiro refuse de jouer une seconde partie, rageux d'avoir perdu et des réponses obtenues.
Il rejoint les autres et accepte le masque, qu'il va ensuite mettre.
Il propose ensuite de poursuivre les recherches ailleurs.

— Eh, ils sont pas si faciles que ça ces jeux, je suis sûr qu’ils truquent les résultats avec de la magie… La théorie du complot quand t’es juste mauvais et de mauvaise foi, c’est la base. C’est pas moi qui suis pas foutu de réussir à aligner des balles dans des trous, c’est juste leur machine de mort qui repousse les balles dans les mauvais coins. Prochaine fois je gagnerai, mais il faut que ce soit un truc qui se repose sur des épreuves physiques ou une connerie du genre, je suis forcément désavantagé dès que ça demande trop d’adresse, je suis un Sword moi.
— Comment ça tu peux pas l’enlever ? Légère panique dans ma voix alors que ma main se porte immédiatement au masque histoire de vérifier ce que dit l’aveugle. Il manquerait plus que je sois bloqué avec cette merde sur la tronche pendant toute l’épreuve. Je tire un coup pour virer le masque, ça bouge pas d’un poil. — Connard de… Alors je tire plus fort, des fois que c’est juste super bien foutu de manière à ce que ça s’envole pas au premier coup de vent, je sais pas. — Mais putain… Cette fois j’y vais avec toute la force que je peux avoir, acharné, déterminé à me sortir ce foutu masque à la con de la fiole. Et j’insiste, de longues secondes. — MAIS BORDEL DE MERDE ! CET ESPÈCE D'ENFOIRÉ NOUS A ENTUBÉ !

J’ai les nerfs, des nerfs que j’ai dans l’idée de passer sur le vendeur qui nous a refilé cette merde. Je m’approche de lui alors que l’autre gonzesse était parti lui poser une question, les dents serrées et les poings fermés. Je vais lui refaire la tronche à ce fumier jusqu’à ce qu’il me dise comment enlever ce masque. - La procession ? Elle débute maintenant. Ouvrez les yeux !
A peine il a fini sa phrase qu’il se passe un truc bizarre, des sons d’instruments d’abord, puis un truc un peu plus improbable, un loup qui hurle. Dans mon dos. Je me retourne dès le premier hurlement, surpris, pour voir l’autre Hollow se foutre à beugler comme un loup elle aussi. Et le tout m’allume le crâne, vibre dans mes oreilles, me fout le vertige. Ca me calme direct, je dois me retenir de pas gerber sur ma meilleure pote Shinigami, autant que je force pour garder l’équilibre.
Puis le silence, le soulagement.

— Commence à me gonfler tout ça… que je lâche, agacé, une main sur la tronche. Avant de pointer un regard hostile en direction de la rouquine qui s’est improvisé Soprano d’opéra l’espace d’un instant. — Toi, ressors-nous tes racines de clebs encore une fois au grand jour et je t’arrache moi-même ton masque. Et je parle pas du second exemplaire qui lui sert de chapeau. Je suis pas là pour me faire chier dans les godasses par un Hollow, je tolère déjà sa présence dans le groupe, c’est pas pour qu’elle nous les brise avec ces pulsions de bête sauvage. — Et toi, qu’est-ce que t’as foutu encore ? On est où là ? Ce toi, il est adressé à Madame Jesaistout, c’est bien à cause d’elle qu’on vient d’être envoyé dans un autre endroit non ? C’est pas elle qui voulait assister à la procession ?
Je zieute autour de moi, histoire d’avoir une idée un plus précise de là où on vient de foutre les pieds. Pièce fermée, une pierre à chaque coin de la pièce. Je m’approche de l’une d’elle, mains fourrées dans les poches, la tronche que je tire atteste que ça me gonfle déjà. Y’a une espèce de statue dessus, avec un symbole. Et pas besoin d’être un génie ou d’attendre que Madame Jesaistout nous le dise pour deviner que chacune des pierres à sa statue avec son symbole.

— Oh putain non, pas une putain d’énigme… Et parce que je commence vraiment à en avoir plein le derche de cette merde, je balance un coup de panard dans la pierre. — Va chier toi et ton énigme ! Avant d’ajouter assez fort pour que tout le monde entende, mais en particulier la Commandante. — Tu pouvais pas fermer ta gueule, hein ? Maintenant on est bloqués ici ! Une autre brillante idée pour qu’on sorte de ce merdier ? Et puisque je suis lancé, autant continuer de rager. — La rouquine, t’as peut-être envie de beugler encore une fois, des fois que ça soit utile cette fois ? L’aveugle je te demande pas, tu dois même pas être foutu de voir les symboles… Pauvre gars, il doit être complètement perdu avec tout ça.

Reijiro rage contre le marchand des masques, part lui péter la gueule mais les sons et les hurlements de loups l'arrêtent.
Reijiro rage contre Hors, puis rage contre la stèle et l'énigme, balance un coup de panard dans la stèle.
Reijiro rage contre Yoru, rage contre Hors. Mais il rage pas contre Sunken, c'est pas de sa faute il y voit rien le pauvre.